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les brèves

Aïn-Bessam : Une salle de sport destinée à une éco

L’école primaire Lamri Boudjemâa, de la localité d’Ain-Bessem, vient de bénéficier d’un projet de construction d’une salle de sport. En effet, l’opération dont les travaux seront bientôt entamés, est inscrite dans le cadre du programme sectoriel de développement.

C’est le plus important projet inscrit en faveur de l’établissement qui enregistre, depuis son ouverture, des résultats satisfaisants. Ainsi, la nouvelle a été chaleureusement accueillie, tant par les élèves que par les professeurs dudit établissement scolaire.

O. K. [LA DÉPÊCHE DE KABYLIE - 16-05-2013]

Aïn-Bessam : Le problème du manque d’eau toujours

Les habitants de trois villages, relevant de la commune d’Aïn Bessam, à savoir Rouabiaâ, Aïn Chellala et Ouled Brahim, se plaignent de la non-inscription de leurs hameaux au programme de la nouvelle conduite d’eau potable desservant leurs villages via le barrage Takesbt, et ce, malgré le manque crucial d’eau potable dont souffrent ces trois localités.

«Même durant l’hiver, nous sommes souvent confrontés à des pénuries d’eau potable. Parfois, nous restons jusqu’à vingt jours sans la moindre goutte d’eau dans les robinets. Cette situation est due à la vétusté du réseau local d’AEP », affirme l’un des villageois. «Malheureusement, nos villages n’ont pas été inscrits dans le projet de la nouvelle conduite, et ce, malgré qu’elle transite sur notre territoire », ajoute notre interlocuteur selon qui, plusieurs demandes et réclamations ont été adressées aux services de la wilaya, pour le raccordement de leurs hameaux à la nouvelle conduite du barrage Takesbt, mais en vain. « Les responsables du secteur refusent de nos raccorder à la nouvelle conduite, sous prétexte, que nos villages sont déjà raccordés à l’ancienne conduite du barrage Oued Lek’hal », ajoute-t-il.

Les citoyens que nous avons interrogés ont signalé, également, la mauvaise qualité d’eau qui coule dans leur robinet. Ces derniers affirment que c’est dû à la dégradation et la vétusté des réseaux d’AEP. « L’eau qui coule de nos robinets est d’une qualité douteuse, et il n’est pas à écarter que des infiltrations d’eaux usées en soient la cause. Nous avons alerté les services de l’ADE, mais jusqu’à ce jour, aucune mesure, au moins préventive, n’a été prise par les responsables de l’unité », se désole un villageois qui précise qu’un échantillon de cette eau a été déposé au laboratoire.

Interrogé sur cette question, les responsables de l’APC d’Aïn Bessem affirment qu’ils avaient officiellement saisi les responsables de la wilaya à propos de ce sujet. « Nous avons adressé une lettre officielle aux services de la wilaya et à la direction des ressources hydriques de Bouira, à propos de ce problème, mais à ce jour, nous n’avons pas encore reçu de réponse», nous dira un élu de l’APC.

O. K. [LA DÉPÊCHE DE KABYLIE - 11-05-2013]

A l’image de Aïn-Bessem, Une piscine pour BirGhbal

La commune de Bir Ghbalou abritant une population de treize mille habitants, à 30 km à l’ouest de la wilaya de Bouira, a bénéficié d’un projet de réalisation d’une piscine semi olympique d’une génération moderne.

Selon notre source locale, les travaux débuteront dans les prochains jours. Le délai de réalisation est de 18 mois. Les pouvoirs publics ont alloué une enveloppe de 170 millions de dinars. A noter par ailleurs, que six autres piscines olympiques sont programmées à travers les grandes daïras de la wilaya de Bouira. A l’image de Aïn Bessem, Bir Ghbalou, Lakhdaria, M’Chedallah, Kadiria, et Bechloul, en plus d’une autre piscine qui sera implantée à Bordj Okhris inscrite dans le cadre du programme des Hauts- Plateaux. Une fois que ces dernières verront le jour, elles feront certainement le bonheur des jeunes de la région.

El watan > 10/09/09 >  B. Atoui

Aïn-Bessem : Les chantiers piétinent

 Ce ne sont pas les coups de semonce qui ont manqué lors de la dernière sortie du wali dans les deux daïras, à l’ouest de la wilaya, en l’occurrence Aïn Bessem et Souk El Khémis. Les retards sont enregistrés dans les études, dans le lancement et dans la réalisation des projets.

Cela a commencé avec les 40 logements LSL, à l’entrée est de Aïn El Hadjar, où l’entrepreneur s’est attiré les foudres du premier responsable pour un retard dans le lancement du projet, un retard jugé inadmissible. De même que ce responsable a estimé la situation des nouveaux relogés confrontés au problème d’électricité intolérable et donné des instructions fermes pour son règlement d’ici au 27 du mois de Ramadhan. A Aïn Laloui, la colère du premier chef de l’exécutif a pris pour cible les indus occupants dont les logements ont poussé comme autant de champignons près et sur le site où vont être édifiés les 90 logements. Sans prendre de gants avec ces occupants indésirables, il a donné l’ordre de débarrasser le terrain pour le lancement sans délai du projet. « Ceux qui n’ont pas de justificatif d’au moins 5 ans de présence sur les lieux » ne peuvent espérer y demeurer, a-t-il tonné. Et d’ordonner de « démolir tous ces gourbis » qui encombrent le site. A Souk El Khémis, une daïra en pleine transformation, pour ne pas dire révolution urbaine, avec ses nouveaux projets de siège de daïra, de lycée, de 100 logements et bientôt de gaz de ville, la consigne a été d’utiliser les mêmes études de labo ayant déjà servi au le lancement des 50 logements pour les 50 autres, les deux projets se trouvant sur le même, et ce pour des raisons d’économie de temps et d’argent. L’autre consigne a concerné la récupération des assiettes laissées vides.

Mais c’est à Aïn Bessem que le premier responsable de la wilaya a donné libre cours à sa vindicte, accusant les indus occupants, à l’origine du retard accusé dans le lancement du projet de 50 logements LSL. La pique particulièrement acérée a visé ces commerçants qui ne savaient pas où aller, selon l’un d’eux qui en l’occurrence s’est fait leur porte-parole. La réplique du wali s’est voulue cinglante : « Je n’attribue pas d’assiette foncière pour les commerçants, mais pour les investisseurs, créateurs de richesses et d’emplois. » Et comme le commerçant en question insistait pour qu’on reconsidère leur situation en fonction de leur ancienneté en tant qu’occupant, le même responsable, s’en tenant à sa décision a fait savoir qu’en l’absence de tout document administratif justifiant leur présence sur les lieux, seul moyen qui pourrait donner lieu à des compensations, il était inutile d’espérer quoi que ce soit de ses services. Et se tournant vers le directeur des domaines qui faisait partie de sa délégation, il l’instruisit d’avoir à engager des poursuites judiciaires à l’encontre de ceux qui refusent d’évacuer les lieux, occasionnant des retards considérables dans le lancement des projets.

El watan > 11/09/09 > Ali D.

Aïn-Bessem : Routes dégradées et embouteillages

La ville de Aïn Bessem, située à une vingtaine de kilomètres à l’ouest de la ville de Bouira, d’une population de plus de quarante mille habitants, connaît ces derniers temps plusieurs aménagements des quartiers urbains, néanmoins certains chemins comme celui qui mène vers le technicum qui se trouve dans un état dégradé, voire impraticable.

Cette situation cause des désagréments aux usagers de la route ainsi qu’aux piétons, particulièrement les lycéens, vu la présence des flaques d’eau durant la période hivernale, le revêtement de ce dernier est d’une nécessité absolue. Pour l’embouteillage, la ville n’est pas dotée de feux tricolores afin de réguler la circulation automobile et par-là même éviter les accidents qui peuvent être provoqués par des chauffards. Le transport urbain, qui est devenu nécessaire, vu l’extension de la ville, n’existe pas. Les responsables concernés doivent se pencher sur ce cas afin de délivrer des autorisations d’exploitation de lignes urbaines aux transporteurs publics, pour le soulagement des citoyens de la ville et ce dans le but d’y remédier à cette situation, qui n’a que trop duré.

El Watan > 18/08/09

Aïn-Bessem : Gare routière sans commodités

Les transporteurs publics de voyageurs de la ville de Aïn Bessem, sise à une vingtaine de kilomètres à l’ouest de Bouira, ainsi que les usagers se plaignent de l’état déplorable de l’arrêt principal.

Ce dernier ne dispose d’aucune commodité, il est dépourvu d’infrastructures d’accompagnement comme les toilettes publiques, les abribus. La piste n’est pas revêtue et en état dégradé où, on constate pendant l’hiver, que celle-ci est recouverte de boue et flaques d’eau un peu partout, dont l’accès devient impénétrable. L’été c’est la poussière insupportable en plus de l’absence de sécurité, étant donné que le site est dépourvu d’éclairage. La situation environnementale de cette dernière est pitoyable puisque les alentours dégagent une odeur nauséabonde où se trouvent des tas d’ordures amassés. En outre, certains transporteurs déplorent l’anarchie qui règne notamment dans la régulation du trafic de transport de voyageurs, et dénoncent les agissements de leurs collègues concernant les pratiques illégales pour le chargement des voyageurs en dehors de l’arrêt homologué par la direction des transports de la wilaya en utilisant d’autres points non autorisés ou en cas d’accident, le voyageur risque de ne pas recouvrir ses droits d’assurance ainsi que le transporteur. Les services habilités doivent agir afin de mettre un terme à ce phénomène de fraudes. Par ailleurs, certains transporteurs imposent leur loi en obligeant les voyageurs de descendre à l’arrêt Harkat, au lieu de continuer jusqu’à la gare routière, et ce dans le but de faire demi-tour pour effectuer le plus de rotations en pénalisant les usagers. Certains jours de la semaine, beaucoup de voyageurs restent immobilisés pendant une demi-journée pour se déplacer, en l’absence de moyens de transport. Un projet de réalisation d’une gare routière adéquate résoudra les problèmes existants et permettra par-là même aux usagers de voyager dans de bonnes conditions. Ce dont, ils demandent l’intervention des services concernés afin de remédier à cet état de fait qui n’a que trop duré.

El watan > 09/08/09 > M. Guergaoui

Aïn-Bessem : Une pelouse pour le stade Zerouki

Le stade Zerouki Abdelkader de la ville de Aïn Bessem, sise à une vingtaine de kilomètres à l’ouest de Bouira vient de bénéficier d’un projet de réalisation d’une pelouse en tartan de la nouvelle génération, la construction des gradins en forme de L et la charpente métallique d’une capacité d’accueil dépassant les six mille spectateurs, ainsi que l’aménagement des vestiaires.
Ce projet a été inscrit à la fin de l’année 2007 et a coûté une enveloppe de 65 millions de dinars pour le premier, et 22 millions de dinars pour le reste. Les travaux de réalisation n’ont débuté qu’au cours de l’exercice 2008 et ont été achevés au mois d’avril 2009, selon la directrice de la jeunesse et des sports de la wilaya de Bouira, le terrain sera prêt incessamment et inauguré dans les prochains jours pour accueillir la compétition officielle avant l’entame de la saison footballistique 2009/2010, alors que les travaux de chantier des tribunes sont toujours en cours. Le délai de réalisation de ces dernières est de quatre mois. En rappel, les travaux ont tardé à cause des intempéries. Les plus heureux seront évidement les supporters des divers clubs, mais surtout les dirigeants et les joueurs de ces derniers. Cette pelouse que recevra ce terrain, permettra surtout à ce club d’y recevoir ses invités et y jouer à l’aise après son homologation. Par ailleurs, cette modernisation offrira les conditions adéquates aux clubs locaux de s’épanouir, jouer les premiers rôles dans le football national.

El watan > 05/08/09 > M. Guergaoui

Amélioration urbaine à Aïn Bessem

Décidément la ville centenaire de Aïn Bessem, sise à une vingtaine de kilomètres à l’ouest du chef-lieu de la wilaya de Bouira, semble bien vouloir opérer sa mue.En effet, plusieurs chantiers sont engagés dans le cadre du plan sectoriel de développement (PSD). La direction de l’urbanisme, de la construction et de l’habitat (DUCH) a déjà engagé les travaux d’aménagement de plusieurs quartiers de la ville, dont la cité Sociale, 120 Logements évolutifs, 100 Logements et le Lotissement 227. Les habitants ont accueilli avec un grand soulagement ces travaux qui contribuent à l’amélioration de leur cadre de vie, après avoir enduré le calvaire durant des années, étant donné que l’endroit précité est devenu presque inaccessible vu l’état des routes qui étaient en dégradation constante, en plus de la présence de la poussière pendant l’été et la boue en hiver. Cependant, ses habitants se posent la question quant au tronçon de l’entrée principale située à l’ouest de la cité entre l’Office national d’aliments de bétail (ONAB) et le centre de formation professionnelle (CFPA), qui est dans un état dégradé voire impraticable. Le chemin en question mène vers la zone d’activités industrielle et commerciale où le trafic routier est important, vu l’importance d’activités de certains établissements implantés dans cette zone. En outre, faut-il noter que cette cité est dépourvue d’infrastructures publiques à savoir, centre de santé, bureau de poste, annexe administrative, complexe de proximité, aires de jeux pour enfants. Les habitants du quartier demandent par ailleurs l’ouverture d’un chemin menant vers le cimetière des martyrs qui les rapproche au centre-ville.

 

El watan > 03/08/09 >  B. Atoui

 

Aïn-Bessem : Les jeunes réclament une piscine

En cette période caniculaire, les jeunes de la commune de Aïn Bessem sise à une vingtaine de kilomètres à l’ouest du chef-lieu de la wilaya de Bouira, et d’une population de 40 000 habitants, ne savent plus où s’enfuir pour espérer trouver de la fraîcheur, mis à part les barrages et autres retenues collinaires constituant un énorme danger pour leur vies.

En effet, cette ville ne dispose pas de piscine, et ce malgré la disponibilité des ressources hydriques. Les jeunes de la localité ayant pris attache avec nous, voient mal comment les autorités compétentes n’ont pas pensé à la réalisation d’une piscine à ce niveau, alors qu’il s’agit bien de l’une des plus importantes villes de la wilaya. Autre raison, la région referme une nappe d’eau importante, en plus du barrage situé à quelques kilomètres seulement de là. Les plus âgés parmi les citoyens de cette ville, soutiennent qu’il s’agit là d’une nécessité impérieuse que les pouvoirs publics doivent impérativement prendre en compte. Car, faut-il le noter, pendant la période d’été la chaleur incite les jeunes et moins jeunes à s’aventurer du côté du barrage pour se baigner avec tous les risques encourus.

El watan > 01/08/09 > Par B. Atoui

Aïn-Bessem : Lenteurs au bureau de poste

De nombreux citoyens habitant la localité de Aïn Bessem, sise à une vingtaine de kilomètres à l’ouest du chef-lieu de la wilaya de Bouira, se plaignent ces derniers temps des lenteurs constatées dans la prestation de service au niveau de l’agence postale de la ville.

Les clients d’Algérie Poste déplorent ainsi l’accueil qui leur aura été réservé par les préposés aux guichets. Certains de nos interlocuteurs ne cachent pas leur gène devant toutes ces lenteurs inexpliquées. L’un d’entre eux dira : « A chaque fois que je viens ici, ils (les guichetiers) m’informent qu’il y a un manque de liquidités. » Celui-là ajoute que même le distributeur automatique de billets de banque (DAB) est constamment hors service, ce qui incite la plupart des personnes à se rabattre sur d’autres bureaux postaux des villes environnantes, dont celui du chef-lieu wilaya qui se trouve à son tour submergé par un nombre sans cesse croissant de citoyens qui y viennent effectuer leurs opérations postales. Ainsi et devant cette situation, les aïnbessemois dénoncent l’anarchie qui y règne et qui ne manque pas d’affecter même le service de distribution du courrier. Celui-là, à en croire nos interlocuteurs, n’arrive aux destinataires qu’après une longue période. Une situation pour le moins contraignante qui porte les concernés à demander des mesures adéquates permettant de mieux réguler ces services postaux.

El Watan > 19-07-09 > Mohamed. G 

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