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les brèves

Ain-Bessem. Découverte d’un cadavre

Près de la ferme Djouda, à quelque 3 km à l’est de Aïn-Bessem, une surprise désagréable attendait hier les éléments de la brigade de la gendarmerie de Aïn Bessem en patrouille : le corps sans vie d’un homme atteint de plusieurs coups de couteau. L’état de décomposition dans lequel se trouvait le cadavre a permis de situer approximativement la mort à trois jours, en attendant que le médecin
légiste précise l’heure exacte du décès. L’enquête ouverte à la suite de cette découverte macabre a permis, quant à elle, d’identifier le mort comme étant un éleveur de moutons de la région.

El watan > 08/08/2006

Aïn-Bessem. En grève depuis le 06 Janvier dernier

Des centaines d'élèves de Aïn Bessem devant le siège de la wilaya -  Saisissant l’occasion de l’ouverture de la session de l’APW, et devant l’impasse dans laquelle s’est retrouvé le conflit opposant plusieurs villages de la commune de Aïn Bessem à la Direction de l’éducation, concernant l’envoi ou non de leurs élèves vers le nouveau CEM de Sidi Yahia, des parents d’élèves, accompagnés de leurs enfants, se sont déplacés hier en force vers le siège de la wilaya pour organiser un sit-in. Arborant des banderoles à travers lesquelles ils interpellent les responsables de la Direction de l’éducation et ceux de la wilaya, concernant la grève des élèves entamée depuis le 6 janvier dernier, les parents d’élèves, surexcités, exigeaient de voir le P/APW afin de lui exposer le problème et de lui trouver une solution. Une solution consistant dans l’immédiat à permettre au millier d’élèves grévistes des deux paliers de reprendre le chemin de l’école. Pour rappel, ce dimanche et d’après les représentants des parents d’élèves de ces villages, le directeur de l’éducation qui s’était déplacé en personne à Aïn Bessem a proposé une solution consistant en le maintien des filles internes à Aïn Bessem, et l’envoi de tous ceux qui étaient externes, garçons et filles, vers le nouveau CEM de Sidi Yahia. Une solution que les parents d’élèves avaient refusé catégoriquement en insistant sur leur exigence première, à savoir l’envoi de tous les élèves de leurs villages vers les deux CEM de Aïn Bessem, c’est-à-dire là où ils avaient entamé le premier trimestre. Après ce sit-in, le P/APW a accepté de recevoir une délégation à laquelle il a promis de tout faire pour convaincre les responsables de la DE de laisser les élèves poursuivre leurs études à Aïn Bessem, en attendant de trouver une solution définitive au problème. Dans l’après-midi, alors que les élèves sont rentrés chez eux, leurs parents étaient toujours sur les lieux, devant le siège de la wilaya, à attendre une solution qui puisse les soulager. D’après ces parents retrouvés sur place, avec la grève enclenchée depuis le 6 janvier dernier, le spectre d’une année blanche commence sérieusement à planer et l’entière responsabilité de ce pourrissement incombe aux responsables de la Direction de l’éducation. Pour rappel, le problème de ces villages a commencé lorsque, le 6 janvier dernier, de retour des vacances, plus de 600 élèves qui suivaient jusque-là leurs études au niveau des deux CEM situés dans la ville de Aïn Bessem furent refoulés par leurs directeurs en les orientant vers le nouveau CEM construit au village de Sidi Yahia, situé à l’extrémité nord -ouest de la commune. Immédiatement, les parents d’élèves de plusieurs villages se sont insurgés contre cette décision et ont refusé d’envoyer leurs enfants vers le nouveau CEM. Selon eux, les responsables qui avaient décidé la construction de ce nouveau CEM au village de Sidi Yahia n’avaient pas tenu compte de leurs réclamations faites en 2004. A l’époque, une commission chargée du choix des sites devant abriter le nouveau CEM avait choisi le village Ouled Brahim, situé au milieu de beaucoup d’autres villages, mais pour des raisons mystérieuses, le CEM fut construit à Sidi Yahia, un village très éloigné et situé dans un coin perdu, selon les parents d’élèves. Pour faire entendre leur voix, ces parents ont même associé leurs enfants du primaire à cette grève. Du coup, la Direction de l’éducation s’est retrouvée avec plus d’un millier d’élèves en grève illimitée depuis le 7 janvier 2007. Plus de quarante jours après le déclenchement de cette grève, les parents d’élèves qui avaient frappé à toutes les portes n’ont pas trouvé d’oreille attentive à leurs revendications ; des revendications plus que légitimes quand on sait que du point de vue pédagogique et même psychologique, un élève s'épanouit aisément quand, après le passage d’un palier à un autre, il se déplace de son village vers le chef-lieu de commune ou de daïra, en se retrouvant plongé dans un autre monde urbain et plus développé. Aussi, présentement, l’urgence est-elle de permettre aux élèves de poursuivre leurs études à Aïn Bessem, chef-lieu de daïra, mais entre-temps le ministre de l’Education devra envoyer une commission d’enquête pour déterminer les responsabilités de ceux qui avaient décidé la construction d’un collège à coups de milliards dans un patelin perdu et faisant fi même des recommandations d’une commission technique qui avaient choisi un meilleur site.
Le soir d'Algérie > 15/02/2007 > Y. Y.

Ain-Bessem. Un élève supplicié par un voyou

A Aïn Bessam, devant le CEM Djoublat, une scène d’une atrocité insoutenable s’offrait hier à la vue des élèves, qui attendaient l’heure d’entrer, dont a été victime un de leurs camarades qui était attaché au portail d’entrée par une chaîne passée autour du cou et bouclée par deux cadenas.

Pour ajouter si possible à l’horreur de ce traitement inhumain, le bourreau de la victime lui faisait respirer un pot de peinture afin de la faire sombrer dans l’inconscient. Afin de tenir aussi à distance toute personne qui serait tentée de secourir le malheureux, âgé tout juste de 13 ans, son tourmenteur brandissait un couteau de boucher. Minutes interminables pendant lesquelles les quelque 2000 élèves - il y avait aussi ceux du CEM Djaâdi - ont dû sentir leur petit cœur s’arrêter. Enfin, deux professeurs sont arrivés et ont découvert la scène et se sont empressés d’aller chercher la police en laissant l’adolescent enchaîné au portail. Ils voulaient surtout ne rien déranger pour que l’enquête se fasse sur des faits précis et non sur ce qu’ils auront déposé. Quand la police est arrivée pour constater l’acte crapuleux, le jeune voyou âgé de 24 ans s’était déjà éclipsé. En guise de protestation contre cette forme de violence abjecte, les professeurs du CEM Djoublat ont décrété une demi-journée de grève. Elle l’avait fait l’année dernière pour dénoncer les conditions de sécurité déplorables régnant au sein de l’établissement. Le même voyou avait rendu déjà visite à l’établissement, insulté et menacé le surveillant général qui refusait de laisser regagner sa classe une élève de 2e année qui s’était absentée la veille et qu’il accompagnait sans être un parent à elle. L’explication fournit par l’un de ces deux professeurs qui ont vécu ce drame et qui se sont évertués à nous le faire revivre hier au CEM, était que la veille l’élève maltraité s’était disputé avec cette camarade de 2e année que le jeune voyou semblait protéger malgré tout. « Peut-être, supposait l’autre professeur, tenait-il en agissant de cette manière ignoble, à montrer qu’il est un vrai caïd ». Délivré par la police, le supplicié qui est en 1re année a été évacué vers l’hôpital. Il était traumatisé.

El Watan > 25 octobre 2005 >  Ali D.

Ain-Bessem. Des enseignants surchargés

Dans la circonscription de Aïn Bessem, l’organisation pédagogique conçue pour l’enseignement du français à l’école primaire est au cœur d’une vive polémique.

Pour beaucoup d’entre eux que nous avons rencontrés hier dans la rue ou devant leurs classes, dénoncent le fait d’être chargé de 5 cours pour chaque enseignant ce qui constitue une tâche à laquelle il est humainement impossible de faire face. Nombre d’entre eux considèrent en effet qu’avec les péparations et les efforts qu’exigent le travail en classe avec 3 cours, c’est tout juste si l’instituteur arrive à s’acquitter de sa tâche avec assez de succès. « Au lieu d’alléger notre fardeau, se plaignait Rachid, un ancien instituteur, voilà qu’on nous accable avec un surcroît de travail. Et cela alors qu’on est en fin de carrière. » Pour Farida, une institutrice nouvellement reconvertie à l’enseignement du français : « Même avec toutes les bonnes volontés du monde, on n’y arriverait pas, car c’est une question de moyens (matériel pédagogique). Et où les trouver ? On a déjà de la peine à en réunir pour un cours, sans parler du reste. » « Il y a là deux poids deux mesures, s’insurgeait Aïssa, un autre ancien instituteur. Certains travaillent avec 3 cours alors que d’autres ont la lourde responsabilité d’en assumer 5. Conséquence : nous passons toute la journée à sauter d’une classe à l’autre avec des résultats nuls. » Et d’en appeler aux parents d’élèves pour faire quelque chose, puisqu’ « il y va de l’avenir de leurs enfants. » Une pétition signée par quelque 150 enseignants adressée au directeur de l’éducation et au représentant de l’association des parents d’élèves dénonce cette organisation pédagogique écrasante. Contacté par téléphone, un responsable de la DE nous déclarait tout ignorer de cette pétition.

El Watan > 26 octobre 2005 >  Ali D.

Aïn-Bessem. 20 milliards pour son amélioration

Pour son amélioration,  la ville de Aïn Bessam, chef-lieu de commune et de daïra à 25 km à l’ouest de Bouira, a bénéficié dans le cadre du programme de rattrapage d’une enveloppe de 15 milliards, selon son responsable que nous avons rencontré hier non loin de son bureau.

Selon le P/APC, ce formidable pactole servira au bitumage des cités 227, 260, 100 Logements LSP et 120 logements sociaux, à la cité Kermia, dont il reste à revêtir un partie laissée en plan. La cité Omar Mohamed et des 78 Logements figurent également dans ce projet. Dans la foulée, la commune a dégagé sur son propre budget une enveloppe de l’ordre de 5 milliards pour l’amélioration du centre de la ville. Ce grand projet, confié à l’entreprise Sotrarbo, a permis le revêtement en béton bitumeux (B.B) des artères principales comme les rues Mohamed Meghribi, Rabah Dermouche, Boualem Laloui, Mohamed Rezig ainsi que les petites ruelles. La même opération, qui prend également en compte les avaloirs, a profité aux cités Salah Arar composés de quelque 500 habitations et Ali Senouci comprenant 260 habitations. L’objectif est l’amélioration du cadre de vie du citoyen.

El Watan > Ali D.  > 21 mars 2007

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