Se rendre directement au contenu principal / Go directly to main content

Menu de cette page : / This page’s menu:

» Accueil/les brèves
Résultats par page : 5 | 10 | 20 | 50
Aller à la page « | 1 | 2 | 3 | 4 | »

les brèves

Hôpital de Aïn-Bessem. Rififi entre SAP et UGTA

Les membres de la section locale du SAP (Syndicat algérien des paramédicaux) de l’hôpital de Aïn Bessem, 20 km à l’ouest de Bouira, qui ont dénoncé le mois écoulé dans une déclaration rendue publique, la gestion controversée de la commission des œuvres sociales gérée par la section syndicale de l’UGTA, dont ils demandent le renouvellement de la composante, sont revenus à la charge en réclamant la tenue d’une assemblée élective pour élire les membres de la commission.
En effet, une assemblée élective a été organisée, en début du mois en cours en présence d’un huissier de justice, affirme le président de la section SAP, M. Tahri, qui a souligné qu’au moment de la tenue de cette assemblée, certains parmi les membres affiliés à la section syndicale de l’UGTA de l’établissement, ont procédé à la destruction des biens de l’hôpital et à saccager l’urne, tout en demandant le départ du directeur de l’EPH. « Pourquoi ont-ils peur de l’urne ? », s’interrogent-ils. D’autre part, le SAP dénonce ces agissements « condamnables » et déclarent soutenir le directeur de l’EPH.
Un soutien qui est par ailleurs exprimé par plusieurs autres associations de la région, à l’image du bureau de wilaya des fils de chouhada, l’association Nour de Aïn Bessem, les fonctionnaires de l’hôpital et les présidents des APC de Aïn Bessem, Aïn Laloui, Aïn Lahdjar, Souk El Khemis, El Mokrani, Khabouzia et El Hachimia. A noter enfin que toutes nos tentatives pour joindre la section syndicale de l’UGTA pour entendre leur version des faits ont été vaines.

El Watan > 20 mai 2009 > Par Nadia Hamani

Aïn-Bessem. L’ERIAD au bout du rouleau

Depuis que le groupe Dahmani a laissé tomber l’unité d’Eriad de Aïn Bessem, il y a 20 jours, celle-ci est à l’arrêt, selon nos sources. Notre déplacement, samedi dernier sur les lieux, n’a pu nous permettre d’apprendre davantage sinon que les 100 employés de l’unité n’ont pas touché leur dernier salaire, c’est-à-dire celui d’avril.
Le directeur de l’unité n’étant pas présent, nous n’avons pu aller plus loin que le seuil de l’entreprise. Cependant, contacté par téléphone, celui-ci nous a invités par deux fois à nous adresser au PDG de la filiale Eriad à Bouira. L’un des responsables de cette filiale nous a orientés vers le groupe Eriad à Alger. Joint par téléphone, le directeur commercial de ce groupe se dit surpris d’apprendre que le groupe Dahmani pour lequel l’unité de Aïn Bessem fait le processing, c’est-à-dire la trituration du blé et la mise en sac, a rompu le contrat qui le lie à cette unité. Pour ce responsable, rien n’a changé pour l’unité Eriad de Aïn Bessem puisqu’on ne lui a rien signalé à ce sujet. Quant au retard accusé dans le versement des salaires, cela arrive à toutes les entreprises, selon lui, sans pour autant signifier qu’elles ont des difficultés financières. Nouveaux contrats avec nos sources qui persistent et signent dans leurs déclarations : l’unité Eriad est à l’arrêt du fait de son lâchage par le groupe Dahmani il y a 20 jours. « Avec quoi tournerait l’unité privée sans le produit fourni par le groupe Dahmani ? », ironisent ces sources. Et pour montrer que les difficultés dans lesquelles se débat l’Eriad de Aïn Bessem remontent à deux ans et que le groupe Dahmani n’a fait que reculer l’agonie de cette unité, ces mêmes sources ajoutent que « les travailleurs n’ont touché que 50% du salaire de février ». Le mois qui a vu le groupe Dahmani offrir à l’unité son label et son partenariat.

El watan > 18/05/09 >  Ali Douidi

Aïn-Bessem. Les locataires de l’OPGI et la Hogra..

Plus dune vingtaine d’habitants de la cité des 170 Logements, sise à Aïn Bessem à 20 km à l’ouest du chef-lieu de wilaya, ayant bénéficié de logements sociaux en 2002, crient à la «hogra». Ils soutiennent qu’ils s’acquittent d’un loyer plus onéreux que les autres locataires relogés dans le cadre du RHP et les victimes du terrorisme. Le loyer est fixé par l’Opgi pour ces derniers à 850 DA contre 4000 DA pour les premiers cités. Deux poids, deux mesures, soulignent les mécontents qui affirment que les logements sont identiques, aussi bien en superficie qu’en nombre de pièces. Ayant soulevé le problème depuis fort longtemps et n’ayant reçu aucune réponse, ces locataires ont décidé de ne plus s’acquitter de leurs loyers et ce, depuis 2003.
Certes, avant la fin de l’année dernière, un accord a été conclu avec le responsable de l’unité de l’Opgi au niveau de Aïn Bessem stipulant que le loyer serait de 850 DA. De leur côté, les habitants se sont engagés à s’acquitter du cumul des dettes. Cinq mois après, les choses n’ont pas évolué dans le bon sens. De ce fait, ils demandent aux autorités compétentes, en l’occurrence le directeur général de l’Opgi de Bouira, d’intervenir pour mettre un terme à cette double politique des loyers menée depuis six ans.

L’expression > 16/04/09 > Ali CHERARAK

Aïn-Bessem. El Hachimia: Grève des lycéens

Les lycéens d’El Hachimia ont entamé leur deuxième semaine de grève suite au recrutement de nouveaux professeurs dans leurs établissements. En effet, les six enseignants contractuels, trois de langue française, un professeur d’allemand et deux moniteurs de sport, exerçant au lycée ont été remerciés par l’administration au début du mois. Ce qui aurait été mal perçu par les élèves qui sont entrés en grève illimitée pour dénoncer ce qu’ils qualifient d’instabilité. Selon les dires des lycéens, il est inconcevable “de changer nos professeurs au beau milieu de l’année scolaire. C’est une perturbation dans notre cursus d’autant plus que nous avions, avec les enseignants, développé une méthode de travail qui a fait ses preuves.’’  Les enseignants contractuels de leurs côtés n’ont pas voulu faire de déclarations, ils nous feront comprendre que l’intérêt des élèves passe avant tout autre considération. Les parents d’élèves redoutent que cette grève pénalise leur progéniture et ils s’inquiètent de la tournure des événements à moins d’un trimestre des examens. “Nous ne comprenons pas pourquoi des professeurs se font recruter au milieu de l’année scolaire, les concours de recrutement devraient se dérouler avant la rentrée scolaire pour que les enseignants rejoignent leurs postes au mois de septembre. C’est aberrant !’’, dira un parent d’élève soucieux quant à l’avenir de ses deux fils scolarisés dans ce lycée. 

La depeche de kabylie > 15/04/09  > B.D.B

Ain-Bessem. Tourmente pour les producteurs de lait

Le différend qui avait opposé les producteurs du lait de la wilaya de Bouira et la laiterie de Draâ Ben Khedda depuis le 1er avril 2009 a enfin trouvé un dénouement. En effet, cette laiterie “avait refusé de recevoir l’ensemble de la production laitière collectée au niveau du centre de regroupement à Aïn Bessem évaluée à quelque 3 000 litres par jour en arguant la saturation de ses moyens de stockage.” Cette justification ne semble pas tenir la route selon le président de l’association des producteurs de l'air de la wilaya de Bouira. Ce refus a irrité les producteurs de la wilaya qui s’étaient dirigés vers la chambre de l’agriculture et les services de la DSA dimanche dernier. Avec l’intervention des différents services inhérents au secteur qui s’y sont penchés et ont pris en charge cette sérieuse préoccupation des éleveurs. D’autant plus que des actions diligentées par ces services ont buté sur la signature des conventions entre les producteurs et le point de regroupement situé à Aïn Bessem affilié à la laiterie de Draâ Ben Khedda, nous informe notre source. Selon M. Hamdani président de l’association des producteurs du lait, “à partir du 14 avril 2009 la laiterie de Draâ Ben Khedda procédera comme d’habitude à la réception du lait de ces producteurs. Une production qui s’élève à quelque 15 000 litres par jour issue des 150 éleveurs entre agréés et permanents. Seulement, abstraction faite de ce dénouement, une autre contrainte serait apparue inhérente au refus du lait collecté par une collectrice par le point de regroupement Aïn Bessem. Ce refus aurait pour grief la signature de cette dernière d’une autre convention avec une autre laiterie”.  Procédure réglementaire ou non, les producteurs tiennent à ce que cette dernière soit réintégrée car “elle procédait à la collecte de pas moins 3 000 litres par jour à elle toute seule”, poursuit notre interlocuteur qui souligne que la collecte non effectuée pénalise largement les éleveurs. Actuellement cette “collecte est acheminée vers le point de regroupement de Aïn Bessem par les éleveurs eux-mêmes et avec leurs propres moyens”, créant par voie de conséquence “une gène non seulement pour la bonne marche de leur activité mais aussi une perturbation totale dans le circuit de distribution”, insiste-t-il à nous informer. Enfin, dans le cadre de la multiplication des établissements activant dans le secteur, chargés de la collecte de la production laitière, ledit éleveur a tenu à nous informer aussi de l’installation prochaine de l’opérateur économique “Danone” à Bouira à partir du 1er mai 2009, une chose qui apportera sans aucun doute un plus pour le secteur qui a tant besoin de soutien. 

 

 La depeche de kabylie 14/04/09. F. K.

Ain-Bessem. Rixe familiale meurtrière à Bir-Ghbalo

Un sexagénaire a été blessé mortellement lors d’une rixe familiale à Bir-Ghbalou. Selon nos sources, mercredi dernier, une heure avant la rupture du jeûne, une bagarre générale a éclaté entre les membres d’une même famille. Bilan : un mort et plusieurs blessés. Les services de sécurité sont intervenus et ont procédé à l’interpellation de plusieurs personnes. Les éléments de la gendarmerie ont ouvert une enquête pour élucider cette affaire.

Liberté > 13/09/08 > A. DEBBACHE
 
 

Ain-Bessem: Producteurs de pomme de terre inquiets

On ne peut pas dire que la plantation de la pomme de terre d’arrière-saison dans les périmètres des Arribs (Bouira) s’annonce sous de bons auspices.
La crainte de voir se répéter le même scénario comme lors de la dernière récolte rend les agriculteurs méfiants et suscite des appréhensions. Rencontrés dernièrement à l’Office d’irrigation de Aïn Bessem (OPIBO), des producteurs venus protester contre la mauvaise distribution de l’eau qui les désavantageait, soutenant que la fois précédente, ils avaient laissé 40 millions de centimes de perte dans chaque hectare. Un des responsables de cet office estime qu’avec une dotation de 3 millions de mètres cubes, l’OPIBO a de quoi satisfaire les 75 EAC et les 145 producteurs privés qui exploitent cette saison une superficie de l’ordre de 1000 ha pour la seule plaine des Arribs, située à l’ouest de Aïn Bessem. S’il relève lui aussi une perturbation dans la distribution, c’est pour la mettre sur le compte de ce qu’il appelle la simultanéité de l’opération, celle-ci s’effectuant en même temps sur tout le périmètre à 60%, le reste se faisant à tour de rôle.

Comprenant 54 antennes de distribution prenant en charge chacune 50 à 60 ha, la distribution serait réglée comme un papier millimétré, aux dires de notre interlocuteur. Pour la récolte de la saison passée, ce responsable est du même avis que les agriculteurs. Evaluée à 350q/ha, elle aurait été compromise à 35%. Il a fallu la maintenir longtemps en terre à un certain taux d’humidité du sol pour la conserver. Malheureusement, explique ce responsable qui incrimine le déficit en moyens de conservation, une partie de la production a été endommagée. Il faut signaler que l’Opibo dont le siège se trouve à Aïn Bessem a connu par le passé une situation qui l’avait mis au bord du dépôt de bilan. Grâce à une politique de redressement spectaculaire, il connaît une meilleure situation qui lui permet de prospérer. Rappelons que pour la seule redevance de l’eau, l’office paye 14 209 DA à l’hectare.

El watan > 08/09/08 > Ali D.

Aïn-Bessem. Réouverture prochaine de la polycliniq

Une enveloppe de deux milliards de centimes a été, récemment octroyée à la commune , 7 km à l’ouest de Bouira, relevant de la daïra de Aïn Bessem, pour le réaménagement de l’infrastructure de la polyclinique de la ville.
Les habitants de Aïn Lahdjar qui, jusque-là, accusent un manque flagrant en matière d’infrastructures de santé, sont contraints de rallier les différentes cliniques du chef-lieu de la wilaya. A souligner que ladite polyclinique a été sabotée par les terroristes, il y a de cela presque une décennie. Par la suite, ce sont les patriotes qui ont occupé les lieux avec quelques familles qui se sont réfugiées à l’intérieur du bloc sanitaire.
L’octroi de cette enveloppe permettra donc à la direction de la santé de récupérer ses biens.D’autre part, faut-il noter que l’unique salle de soins sise au chef-lieu communal, accuse aussi un manque flagrant de commodités, ce qui ne manque pas d’accentuer les souffrances des habitants de la localité.
El watan > 02/09/08 > Amar Fedjkhi

Aïn-Bessem. Un sexagénaire assassiné parson cousin

Un sexagénaire répondant aux initiales de B.D.B. a été froidement assassiné, jeudi dernier, par son cousin et gendre de son frère, âgé de 26 ans, après une altercation qui n’aurait duré que quelques minutes devant son domicile à Aïn Bessem (ouest de Bouira), affirment des sources locales. L’assassin, habitant à Baraki (Alger), venu, selon nos sources, demander le retour de sa femme répudiée récemment, avait essuyé un refus catégorique de la part de la victime ; ce qui provoqua sa furie. Plusieurs coups de couteau avaient été assénés au vieillard qui mourra sur le coup. Quant à l’agresseur, se rendant compte de son forfait, il a pris la poudre d’escampette pour s’évanouir dans la nature. A présent, il demeure toujours en fuite, affirment nos sources

El watan > edition du 01/09/08

Ain-Bessem. Où stocker la pomme de terre ?

 Hier c’étaient des dizaines de producteurs venus de Aïn Bessem se plaindre devant le siège de la wilaya au sujet des chambres froides qu’ils n’arrivent pas à se procurer pour mettre leur production à l’abri des aléas du temps et pour qu’ils ne risquent pas une perte après tant d’investissements financier et humain.

Dans la région de Aïn Bessem, selon leurs dires, on compte plus d’un millier d’hectares de pomme de terre cultivés,  prêts, semble-t-il, à la cueillette. Seulement, les producteurs ont indiqué avoir eu du mal à trouver des chambres froides disposées à recevoir leur récolte assez conséquente quand même.

Les producteurs parlent de 700 000 quintaux dans les périmètres de Aïn Bessem et les plateaux des Arribs qui comptent en tout approximativement plus de 4 000 hectares de pomme de terre cultivés. Ainsi, nous comprenons que la non-disponibilité des chambres froides en quantité suffisante est la vraie préoccupation de ces agriculteurs qui ne cessent ces derniers jours de se démener comme des fous et d’aller d’un lieu à l’autre rien que pour leur signifier qu’il n’est possible de faire quelque chose pour eux afin de sauver leur récolte de la plus pire perte qui s’annonce. Ils se sont exprimés de manière querelleuse quant à  «l’indifférence des services concernés de nous procurer des chambres froides pour la conservation du tubercule et nous sauver de la sorte d’une perte incommensurable». D’autres producteurs ont avancé avoir laissé leur production sous terre sous peine qu’elle s’abîme en attendant de trouver des chambres froides parce qu’il leur est arrivé de cueillir des quantités et à force de courir de droite à gauche pendant des jours en quête de chambres froides, leur marchandise risque l’avarie et la moisissure par ces chaleurs qui sévissent.

Hier, ils étaient uniquement de la région de Aïn Bessem, ces producteurs venus se plaindre de ce problème et il y a des jours de cela, c’étaient les agriculteurs  de la région des plateaux d’El-Esnam qui se sont plaints de cette situation. Dans la région d’El-Esnam, ce sont 6 000 hectares de pomme de terre qui sont cultivés. En somme, si la surproduction de la pomme de terre a ramené un grand apaisement, elle a laissé, par contre, des producteurs, notamment les moins riches pour se permettre des chambres froides et de gros moyens, dans l’embarras le plus total. Il faut rapporter qu’avant-hier les producteurs de pomme de terre de la localité d’El Esnam ont procédé à la fermeture de la RN5 pour attirer l’attention des autorités sur cette pénible situation et les contraindre à faire en sorte qu’elle soit réellement prise en considération.

En attendant, le problème persiste et les producteurs perdent patience...

Par Farid Haddouche
Source : Le jour d'Algérie 16/07/08

Aïn-Bessem se souvient de ses dix fusillés

Emouvants rappels de la mémoire, en ce jeudi 10 juillet à Aïn- Bessem, 25 km à l’ouest de Bouira. La population et les autorités locales, l’APC, et aussi les moudjahidine, ont décidé d’ouvrir une page de l’histoire de la ville de Aïn-Bessem.
Une page douloureuse puisque, l’événement rappelle le souvenir de dix personnes parmi les plus valeureuses de la ville qui furent froidement fusillées devant la population en cet été 1959. Des centaines de personnes : femmes, enfants, vieillards mais aussi, les prisonniers étaient conduits de force vers le lieu pour voir ce qui allait se passer, pour que plus personne n’ose faire la même chose sous peine de se voir réservé le même sort. Chettar Slimane, aujourd’hui âgé de 72 ans, était parmi les prisonniers. Il a assisté à cet événement. Il raconte. «Tout a commencé lorsque en cette fin du mois de mai 1959, les moudjahidine ont attaqué pendant la nuit deux endroits de la ville ; la station d’essence appartenant au colon français, Pich Berty, qui était à l’époque des faits, adjoint au maire d’Aïn-Bessem, et la pharmacie de Guillot, également un colon établi à Aïn- Bessem. Après ces deux attaques, les militaires français allaient rapidement sévir en se vengeant contre la population de la ville de Aïn-Bessem, coupable, selon eux, de complicité avec les «fellagas» comme ils appelaient nos valeureux moudjahidine. De fait, trois jours après l’attaque, les militaires français, venus en renfort avec le maire de la ville, Austurin, ont quadrillé la ville avant de rassembler au niveau de la place publique toutes les personnes soupçonnées d’être de connivence avec l’ALN. Ils les ont embarqués ensuite vers la caserne 410 de Aïn-Bessem, réputée pour ses pratiques de torture. Au total, 150 personnes, entre adolescents et adultes, furent embarquées. Je fus parmi eux. Pendant plusieurs jours, nous étions à tour de rôle interrogés et torturés pour nous extraire des aveux et des informations que nous ne détenions pas. Du moins en ce qui me concernait. Après quelques jours, nous fûmes transférés vers la prison de Sour- El-Ghozlane. Au deuxième bureau, célèbre pour ses pratiques atroces. Là aussi, nous avons tous subi les pires tortures et toutes sortes d’interrogatoires imaginables et inimaginables. Après quelques jours de cette vie infernale où chacun de nous souhaitait la mort pour échapper aux sévices dont nous étions l’objet, nous fûmes embarqués de nouveau vers Aïn-Bessem à bord de trois camions. Je me rappelais, parmi tous les prisonniers que nous étions, dix avaient cette fois-ci des menottes aux poignées. A Aïn-Bessem, après une nuit passée dans la même caserne, le lendemain, nous étions le 20 juillet, nous fûmes conduits tous vers une place où nous avons trouvé également des centaines de nos frères et sœurs ; toute la population y était rassemblée. Là, les militaires ont aligné les dix personnes qui avaient les menottes aux mains devant un mur. Et avant que les militaires ne les abattent de sang-froid, le maire de la ville de Aïn-Bessem, Austurin, secondé par un député algérien dépêché d’Alger et qui était avec la France, nous expliquent que si quelqu’un de nous s’amuserait à aider les «fellagas», son sort sera le même que ces dix personnes. Et là, le maire Austurin ordonna aux militaires de tirer.
Des exécutions sommaires
Les dix héros de la Révolution venaient d’être lâchement assassinés par les soldats français. Cependant, si huit d’entre eux se sont écroulés sur le coup, deux par contre, les martyrs, Sekkak Laïd et Bouchakour Mohamed, étaient toujours debout et criaient «Tahya El Djazaïr !» (vive l’Algérie) par trois fois avant que les militaires ne les abattent à bout portant à l’aide de pistolets en leur tirant des balles sur la tempe. Après cette exécution sommaire, les militaires ont disparu laissant le soin aux gardes champêtres de débarrasser la place des dépouilles. Quant à moi, après le départ des militaires, je fus abandonné sur les lieux au même titre que les 140 autres personnes. J’avais 18 ans. Je me rappelais avoir couru des centaines de mètres avant de me réfugier chez une Bretonne, Mme Marcellezi, femme d’un juge, qui était contre la guerre et pour l’émancipation du peuple algérien. Elle m’accueillit dans sa maison où je suis resté longtemps avant de regagner ma demeure. Le lendemain, nous avons appris que les moudjahidine ont voulu se venger de ces exécutions mais de peur de nouvelles représailles contre la population civile désarmée, ils ont renoncé. Par contre, ils n’ont jamais renoncé aux dépôts de bombes le long des routes menant vers les maquis de Souk- El-Khmis et Makraoua, fiefs des moudjahidine. Je me rappelle de ce détail, car pendant plusieurs semaines après cette fusillade, les militaires nous faisaient appel à chaque fois qu’ils voulaient se déplacer vers ces forêts, en nous utilisant comme boucliers.
Les Algériens, de la chair à canon
Les militaires nous donnaient les détecteurs de bombes et marchaient loin derrière nous. De la sorte, si quelqu’un d’entre nous découvrait la bombe, il n’avait qu’à la signaler sinon, si jamais il ne la détecte pas, c’est lui-même qui sauterait. Je fus parmi les jeunes Algériens qui effectuaient cette sale besogne imposée par les soldats français à plusieurs reprises et je me rappelle avoir détecté une fois une bombe, désamorcée plus tard par les soldats français. Comprenant que cette pratique allait me coûter la vie, des proches me conseillèrent de quitter la ville pour aller à Ghardaïa, le temps que cette pratique soit oubliée. C’est ce que je fis avant de revenir quelques mois plus tard après que la pratique fut abandonnée par les soldats français. Voilà, l’histoire des dix fusillés telle que je l’ai vécue personnellement en cet été 1959. Encore une chose que je voulais signaler. Lors de mon incarcération au deuxième bureau à Sour-El-Ghozlane, je fis la connaissance dans la cellule de deux grands moudjahidine qui avaient été arrêtés dans les montagnes de Boussaâda alors qu’ils étaient blessés. Il s’agissait des officiers de l’ALN, Mihoubi Brahim et un certain Aït Youcef. Les deux officiers de l’ALN ont été transférés vers une destination inconnue deux jours plus tard. Après ma sortie de prison plus d’un mois plus tard, j’ai appris que les deux officiers de l’ALN étaient morts lâchés par les soldats français depuis un hélicoptère». Témoignage émouvant que celui de Ammi Slimane qui racontait les choses d’une manière tellement naturelle. Ce jeudi, aux côtés de Ammi Slimane, il y avait plusieurs autres moudjahidine de la région, à commencer par l’officier de l’ALN, natif de la région, Ali Drafli, le sécrétaire général de l’ONM de Bouira, qui était également chef de zone, Abdi Salah, l’ex-ministre Abderrazak Bouhara, le sécrétaire général de l’Organisation des enfants des moudjahidine, Khalfa M’barek, des cadres du RND, à leur tête le sénateur, le Dr Bouha Mohamed ainsi que le député Maouche Mohamed. Tout ce beau monde a bien voulu partager avec la population de Aïn- Bessem cette journée commémorative d’une des journées les plus noires de son histoire, une journée noire mais grâce à laquelle les jeunes d’aujourd’hui ont pu jouir de l’indépendance du pays. L’ensemble de la délégation conduite par le P/APC actuel de la ville, Nouri Mohamed, s’est recueilli devant les tombes des dix martyrs mais également celles des dizaines d’autres martyrs dont les dépouilles furent découvertes après l’Indépendance non loin du lieu où les dix ont été fusillés. Après la lecture de la Fatiha à leur mémoire, les hôtes de la ville de Aïn-Bessem se sont dirigés vers la salle de la maison de jeunes Malek-Bouguermouh, où une sympathique cérémonie a eu lieu et où des prix symboliques ont été remis aux moudjahidine et aux enfants de chouhada de la région et de la wilaya. Pour rappel, pendant la guerre de Libération nationale, plusieurs exécutions sommaires ont été perpétrées par les soldats de l’armée française. Au niveau de la wilaya de Bouira, outre les dix fusillés de Aïn-Bessem, il y en a eu six à Dechmia, 18 à Ath- Mansour, exécutés à Maillot, ainsi que l’exécution par pendaison de quarante-cinq personnes au niveau de la commune de Saharidj durant la sinistre opération Jumelles.

Le soir d'Algérie > 15/07/08 > Y. Y.

Ain-Bessem. Pannes electriques récurentes

Phénomène de plus en plus récurrent, même en période d’été où la consommation énergétique atteint son niveau le plus bas, la panne électrique qui a affecté la ligne haute tension desservant les daïras de Aïn Bessem et Souk El Khemis a plongé avant-hier pendant près d’une heure plusieurs communes dans le noir.
Fâcheux déjà de par sa récurrence, ce phénomène l’est davantage encore par la fréquence d’un moment clef du jour. Comme celle d’avant-hier, en effet, ces pannes intempestives interviennent généralement entre 19h et 21h. C’est-à-dire au moment que choisissent les citoyens pour se mettre à table. Les plus prévoyants mangent à la lueur de la bougie. Les moins prévoyants sont obligés d’attendre le retour de la lumière. Ce dont on ne se lassera jamais de signaler encore : sur cette ligne les pannes sont de plus en plus fréquentes et ont, selon les circonstances, leur origine soit dans l’équipement soit dans les conditions atmosphériques.
La panne d’avant-hier qui s’est produite entre 19h50 et 21h30 ne semble pas le fait de perturbations météorologiques.
À charge de la Sonelgaz de localiser ces pannes répétitives et d’apporter les corrections nécessaires, au grand soulagement de sa clientèle.

El Watan > 14/04/08> Ali D.

Ain-Bessem. Un jeune décède pour cause de rage

Un jeune de 17 ans, habitant le lieudit Ouled Bellil, à 3 km de Aïn El Hdjar (Aïn Bessem) est mort avant-hier des suites d’une morsure par un chien enragé.
L’adolescent, selon nos sources, s’est amusé, quarante jours plus tôt, à caresser le dos de l’animal au moment où, la bête, folle de rage, lui plantait ses crocs dans le bras.
Celui-ci, aux dires des mêmes sources, est allé consulter un médecin qui lui prescrivait un traitement antirabique. La victime interrompra le traitement à la sixième injection.
Au bout du quarantième jour, le jeune commençait à ressentir des douleurs dans le bras qui a été mordu par le chien. De la fièvre et une phobie de l’eau commençaient également à se faire sentir chez lui.
Evacué vers l’hôpital d’El Kettar, à Alger, il finit par rendre l’âme… le germe de cette maladie moyenâgeuse qu’est la rage, a eu le temps de faire des ravages irréversibles au niveau des structures du cerveau de la victime.
El watan > 11/06/08  >  A.D

Un jeune homme se suicide à Ain-Bessem

Un jeune homme, ayant des troubles du comportement a mis fin à ses jours, avant-hier, à Aïn Bessem (Bouira). Agé de 30 ans, il était père d’un enfant et commerçant de son état. Lorsqu’il a décidé de passer à l’acte, le jeune homme a attendu d’être seul à la maison, selon notre source, qui ajoute que la dose de tranquillisants, qu’il avait coutume de prendre chaque soir, a été sensiblement augmentée. Après quoi, le malheureux s’est pendu dans sa chambre.

El Watan > 14/04/08

Crime horrible à Aïn-Bessem

Un crime crapuleux a été commis vendredi à Aïn Bessem. Cet assassinat a mis toute la ville en émoi car la victime, M. S., un jeune de 17 ans, était connue pour avoir un bon caractère. On ne lui connaissait d’ailleurs aucun ennemi.

Le vendredi à 9h, racontent nos sources, il prenait sa moto pour une tournée dans ce quartier à l’est de la ville où il habitait. Vers midi, le jeune homme ne donnant pas signe de vie, sa disparition commençait à susciter de l’inquiétude chez ses parents. Les appels vers son portable commençaient alors à fuser, en vain, car l’appareil était éteint. Vers 19h, ses parents alertaient la police qui poussait ses recherches jusqu’au barrage de Oued Lakehal, sans résultat. Entre temps, tous les habitants du quartier se mobilisaient pour passer les environs au peigne fin. Vers minuit, le corps du jeune homme est retrouvé sans vie près du lieudit El Houachria, à quelques kilomètres à la sortie est de Aïn Bessem. Il portait sept coups de couteau dont un fatal au cœur. Le portable et la moto avaient disparu. L’enquête, confiée à la gendarmerie, tente de déterminer les circonstances de cet acte criminel autour duquel le mystère semble total pour le moment.

El Watan > 17/03/08 > Ali D.

Technicum Barbar Abdellah de Aïn Bessem

Les enseignants s’insurgent contre les agressions... - Les enseignants du technicum Barbar Abdellah de Aïn Bessem, à l’ouest de Bouira, ayant tenu samedi dernier une assemblée générale suite à l’agression de deux de leurs collègues dans l’enceinte même de l’établissement, ont décidé à l’unanimité de passer à la vitesse supérieure et ce, en lançant un préavis de grève qui prendra effet à partir du dimanche prochain, apprendon. Ainsi, la situation qualifiée de délétère par certains enseignants que nous avons rencontrés ne manque pas de les faire réagir, surtout que les responsables au niveau de la direction de l’éducation semblent ne pas se presser pour prendre des sanctions envers les présumés agresseurs. Les faits incriminés portent, selon les déclarations de nos interlocuteurs, sur deux agressions dont la première est physique sur un enseignant qui aurait été pris à partie par un groupe d’élèves de cet établissement, la seconde est une agression verbale dont a fait l’objet une enseignante de la part, cette fois-ci, d’un adjoint d’éducation censé donner l’exemple en matière d’éducation et de respect de la discipline sur les lieux. Suite à ces incidents pour le moins graves, les enseignants ayant protesté devant la direction de l’établissement, ont demandé à ce qu’une commission d’enquête soit dépêchée afin de faire la lumière sur ces événements fâcheux qui ne cessent de gangrener les espaces éducatifs. Une revendication qui avait été satisfaite, puisque la DE avait dépêché, en date du 6 février dernier, une commission d’enquête pour relever les infractions. Mais depuis, les espoirs des enseignants quant à la prononciation de sanctions à l’encontre des fautifs, se sont estompés d’autant qu’aucune mesure n’avait été prise, affirme-ton. Cela même qui ne manquera d’arriver au bout de la patience de ces enseignants qui se disent touchés dans leur amour- propre, et que le fait que les fautifs ne soient pas sanctionnés peut être perçu comme étant un laisser-aller qui encouragera, à coup sûr, les atteintes à l’enseignant. Une situation qui ne doit être tolérée puisqu’il n’échappe à personne que depuis quelques années, la violence dans les établissements éducatifs ne cesse de prendre des proportion pharaoniques au point que dans certains établissements, ni l’enseignant ni les staffs administratifs n’arrivent à gérer les choses de façon convenable. Une dérive qui emporte dans son sillage l’essence même de nos établissements qui, dans certains cas, se transforment en fabriques de fauteurs de troubles au lieu d’être des lieux où on forme des générations de cadres. 

Le courrier d' Algérie > 05/03/08 > Lyazid Khaber  

Un voleur de voitures d'Ain-Bessem arrêté

BOUIRA - Celui-ci répondant aux initiales M.I., âgé de 28 ans, marié, originaire de Aïn Bessem, a été arrêté par les services de sécurité à bord d’un véhicule, lors d’un contrôle de routine, sans aucun document prouvant qu’il en est le propriétaire.
Et après avoir fouillé le véhicule, les éléments de la police ont trouvé des documents, dont une pièce d’identité d’une autre personne, S.M., 28 ans, résidant à Lakhdaria et un certificat d’assurance automobile d’un autre véhicule, portant le nom de B.S., demeurant à Bouira. Après investigations auprès des services de police, il s’est avéré qu’une plainte pour vol du véhicule a été déposée en date du 24 février 2008 par S.M., auprès des services de la Gendarmerie nationale de Aïn Turk. Une autre plainte a été déposée au niveau de la brigade de la gendarmerie de la commune de Kadiria par B.M. originaire de Kadiria pour le même motif. Le mis en cause, présenté devant le procureur près le tribunal de Aïn Bessem, tout en reconnaissant les faits retenus contre lui, a avoué qu’il faisait partie d’un groupe spécialisé dans ce genre de vols. Il a été placé sous mandat de dépôt pour association de malfaiteurs et vol qualifié.

L'expression > 04/03/04 > Ali CHERARAK

1 commentaire - Voir | Rédiger

Ain-Bessem. Affaire du kamikaze de Bouira

Deux officiers de police devant le parquet d'Aïn Bessem - Décidément, l’affaire de l’attentat suicide avorté grâce aux efforts conjugués du chef du centre opérationnel (CO) de la sûreté de wilaya et du responsable des services techniques de la téléphonie mobile n’a pas fini de défrayer la chronique.

Alors que l’on croyait l’incident clos et que l’enquête ouverte à ce sujet ne serait qu’une simple formalité, qu’est-ce qu’on apprend ? Le chef du CO a d’abord été suspendu de ses fonctions. Placé en garde à vue depuis mercredi dernier, il n’a retrouvé la liberté que pour être présenté, avant-hier, au parquet avec l’autre officier chargé de la communication à la sûreté de wilaya. L’instruction judiciaire ouverte dimanche dernier à 14h au tribunal de Aïn Bessem où les deux officiers ont été présentés n’a pu être menée à terme que vers 18h30. Après quoi, nous apprenons de l’avocat du chef du CO que son client a été placé sous contrôle judiciaire. L’officier chargé de la communication a bénéficié lui d’un non-lieu. Précisions que les deux officiers, lors de ce point de presse sur l’attentat suicide avorté, ont clairement spécifié que le terroriste arrêté près de l’école Bourebache à Lakhdaria, 4 heures après avoir lancé son message d’attentat suicide, ne possédait que son portable. Ce n’est que lorsque l’animateur de la conférence a déclaré que le terroriste a parlé d’un simple canular qu’un de nos confrères a demandé pourquoi n’avoir pas patienté pour le prendre sur le fait. C’est alors que le chef du CO a répondu à notre confrère en lui expliquant ce qui arriverait si une fille kamikaze conduisant un véhicule bourré d’explosifs ou ayant une ceinture explosive foncerait sur une sûreté… avant de conclure que les nouvelles méthodes pour contrer ce genre d’attentats intègrent les paramètres de rapidité et d’efficacité.

El Watan > 19/02/08 > Ali D.

Aïn-Bessem. Fuite de gaz : Un mort par asphyxie

Le drame s’est produit avant-hier vers 14h30 à la cité Bachir Saïd, à proximité du stade communal de Aïn Bessem. Il a pour origine une fuite de gaz.

Le logement où s’est déclarée la fuite était occupé par un jeune couple nouvellement marié. L’homme, un aviculteur, selon nos sources, est mort asphyxié. Son épouse a été évacuée vers l’hôpital, sans connaissance. Hier, où a eu lieu l’enterrement de la victime de ce sinistre, elle a repris ses esprits, mais elle a dû être retenue en observation. Selon la Protection civile qui reprend les explications fournies par Sonelgaz, la fuite de gaz provenait d’un chauffe-bain. L’absence d’issues pour l’aération a conduit à une forte accumulation de gaz à l’origine de ce drame.

El Watan > 13/01/08 > Ali D

Aïn-Bessem. Les boulangers en grève

Les boulangers de la ville d’Aïn Bessam sont en grève illimitée depuis vendredi. Ils revendiquent l’amélioration des conditions d’approvisionnement.
Lors de notre passage au niveau de cette ville située à 25 km à l’ouest du chef-lieu de la wilaya,  nous avons constaté que quelques boulangers assurent encore le service minimum. Au niveau des commerces d’alimentation générale, aucune baguette n’est disponible. Selon un boulanger : “Nous demandons l’intervention des pouvoirs publics afin de nous assurer un meilleure approvisionnement, et ce, tant en prix qu’en qualité.” Pour la raison de la contestation, “le prix de la farine est fixé par un lobby de grossistes qui impose son diktat. Le produit existe mais nous l’achetons en deuxième main. Parfois nous devons faire le trajet jusqu’à Sétif pour nous approvisionner”. un autre boulanger souligne, de son côté, avoir acheté jeudi de la farine à 2 600 DA le quintal en deuxième main, en plus de mauvaise qualité. “Les propriétaires de minoteries privilégient les grossistes. Ces derniers nous vendent à des prix élevés, sans facture et dans des sacs de 25 kg au lieu de ceux de 50, chose qui fait flamber le prix jusqu’à 2 700 DA, dépassant de loin celui subventionné par l’État”, dit-il. Les initiateurs de cette action de protestation sont déterminés à faire entendre leur voix.

Liberté > 13/01/08 > A. DEBBACHE

Aller à la page « | 1 | 2 | 3 | 4 | »