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les brèves

Aïn-Bessem : Gare routière sans commodités

Les transporteurs publics de voyageurs de la ville de Aïn Bessem, sise à une vingtaine de kilomètres à l’ouest de Bouira, ainsi que les usagers se plaignent de l’état déplorable de l’arrêt principal.

Ce dernier ne dispose d’aucune commodité, il est dépourvu d’infrastructures d’accompagnement comme les toilettes publiques, les abribus. La piste n’est pas revêtue et en état dégradé où, on constate pendant l’hiver, que celle-ci est recouverte de boue et flaques d’eau un peu partout, dont l’accès devient impénétrable. L’été c’est la poussière insupportable en plus de l’absence de sécurité, étant donné que le site est dépourvu d’éclairage. La situation environnementale de cette dernière est pitoyable puisque les alentours dégagent une odeur nauséabonde où se trouvent des tas d’ordures amassés. En outre, certains transporteurs déplorent l’anarchie qui règne notamment dans la régulation du trafic de transport de voyageurs, et dénoncent les agissements de leurs collègues concernant les pratiques illégales pour le chargement des voyageurs en dehors de l’arrêt homologué par la direction des transports de la wilaya en utilisant d’autres points non autorisés ou en cas d’accident, le voyageur risque de ne pas recouvrir ses droits d’assurance ainsi que le transporteur. Les services habilités doivent agir afin de mettre un terme à ce phénomène de fraudes. Par ailleurs, certains transporteurs imposent leur loi en obligeant les voyageurs de descendre à l’arrêt Harkat, au lieu de continuer jusqu’à la gare routière, et ce dans le but de faire demi-tour pour effectuer le plus de rotations en pénalisant les usagers. Certains jours de la semaine, beaucoup de voyageurs restent immobilisés pendant une demi-journée pour se déplacer, en l’absence de moyens de transport. Un projet de réalisation d’une gare routière adéquate résoudra les problèmes existants et permettra par-là même aux usagers de voyager dans de bonnes conditions. Ce dont, ils demandent l’intervention des services concernés afin de remédier à cet état de fait qui n’a que trop duré.

El watan > 09/08/09 > M. Guergaoui

Aïn-Bessem : Une pelouse pour le stade Zerouki

Le stade Zerouki Abdelkader de la ville de Aïn Bessem, sise à une vingtaine de kilomètres à l’ouest de Bouira vient de bénéficier d’un projet de réalisation d’une pelouse en tartan de la nouvelle génération, la construction des gradins en forme de L et la charpente métallique d’une capacité d’accueil dépassant les six mille spectateurs, ainsi que l’aménagement des vestiaires.
Ce projet a été inscrit à la fin de l’année 2007 et a coûté une enveloppe de 65 millions de dinars pour le premier, et 22 millions de dinars pour le reste. Les travaux de réalisation n’ont débuté qu’au cours de l’exercice 2008 et ont été achevés au mois d’avril 2009, selon la directrice de la jeunesse et des sports de la wilaya de Bouira, le terrain sera prêt incessamment et inauguré dans les prochains jours pour accueillir la compétition officielle avant l’entame de la saison footballistique 2009/2010, alors que les travaux de chantier des tribunes sont toujours en cours. Le délai de réalisation de ces dernières est de quatre mois. En rappel, les travaux ont tardé à cause des intempéries. Les plus heureux seront évidement les supporters des divers clubs, mais surtout les dirigeants et les joueurs de ces derniers. Cette pelouse que recevra ce terrain, permettra surtout à ce club d’y recevoir ses invités et y jouer à l’aise après son homologation. Par ailleurs, cette modernisation offrira les conditions adéquates aux clubs locaux de s’épanouir, jouer les premiers rôles dans le football national.

El watan > 05/08/09 > M. Guergaoui

Amélioration urbaine à Aïn Bessem

Décidément la ville centenaire de Aïn Bessem, sise à une vingtaine de kilomètres à l’ouest du chef-lieu de la wilaya de Bouira, semble bien vouloir opérer sa mue.En effet, plusieurs chantiers sont engagés dans le cadre du plan sectoriel de développement (PSD). La direction de l’urbanisme, de la construction et de l’habitat (DUCH) a déjà engagé les travaux d’aménagement de plusieurs quartiers de la ville, dont la cité Sociale, 120 Logements évolutifs, 100 Logements et le Lotissement 227. Les habitants ont accueilli avec un grand soulagement ces travaux qui contribuent à l’amélioration de leur cadre de vie, après avoir enduré le calvaire durant des années, étant donné que l’endroit précité est devenu presque inaccessible vu l’état des routes qui étaient en dégradation constante, en plus de la présence de la poussière pendant l’été et la boue en hiver. Cependant, ses habitants se posent la question quant au tronçon de l’entrée principale située à l’ouest de la cité entre l’Office national d’aliments de bétail (ONAB) et le centre de formation professionnelle (CFPA), qui est dans un état dégradé voire impraticable. Le chemin en question mène vers la zone d’activités industrielle et commerciale où le trafic routier est important, vu l’importance d’activités de certains établissements implantés dans cette zone. En outre, faut-il noter que cette cité est dépourvue d’infrastructures publiques à savoir, centre de santé, bureau de poste, annexe administrative, complexe de proximité, aires de jeux pour enfants. Les habitants du quartier demandent par ailleurs l’ouverture d’un chemin menant vers le cimetière des martyrs qui les rapproche au centre-ville.

 

El watan > 03/08/09 >  B. Atoui

 

Aïn-Bessem : Les jeunes réclament une piscine

En cette période caniculaire, les jeunes de la commune de Aïn Bessem sise à une vingtaine de kilomètres à l’ouest du chef-lieu de la wilaya de Bouira, et d’une population de 40 000 habitants, ne savent plus où s’enfuir pour espérer trouver de la fraîcheur, mis à part les barrages et autres retenues collinaires constituant un énorme danger pour leur vies.

En effet, cette ville ne dispose pas de piscine, et ce malgré la disponibilité des ressources hydriques. Les jeunes de la localité ayant pris attache avec nous, voient mal comment les autorités compétentes n’ont pas pensé à la réalisation d’une piscine à ce niveau, alors qu’il s’agit bien de l’une des plus importantes villes de la wilaya. Autre raison, la région referme une nappe d’eau importante, en plus du barrage situé à quelques kilomètres seulement de là. Les plus âgés parmi les citoyens de cette ville, soutiennent qu’il s’agit là d’une nécessité impérieuse que les pouvoirs publics doivent impérativement prendre en compte. Car, faut-il le noter, pendant la période d’été la chaleur incite les jeunes et moins jeunes à s’aventurer du côté du barrage pour se baigner avec tous les risques encourus.

El watan > 01/08/09 > Par B. Atoui

Aïn-Bessem : Lenteurs au bureau de poste

De nombreux citoyens habitant la localité de Aïn Bessem, sise à une vingtaine de kilomètres à l’ouest du chef-lieu de la wilaya de Bouira, se plaignent ces derniers temps des lenteurs constatées dans la prestation de service au niveau de l’agence postale de la ville.

Les clients d’Algérie Poste déplorent ainsi l’accueil qui leur aura été réservé par les préposés aux guichets. Certains de nos interlocuteurs ne cachent pas leur gène devant toutes ces lenteurs inexpliquées. L’un d’entre eux dira : « A chaque fois que je viens ici, ils (les guichetiers) m’informent qu’il y a un manque de liquidités. » Celui-là ajoute que même le distributeur automatique de billets de banque (DAB) est constamment hors service, ce qui incite la plupart des personnes à se rabattre sur d’autres bureaux postaux des villes environnantes, dont celui du chef-lieu wilaya qui se trouve à son tour submergé par un nombre sans cesse croissant de citoyens qui y viennent effectuer leurs opérations postales. Ainsi et devant cette situation, les aïnbessemois dénoncent l’anarchie qui y règne et qui ne manque pas d’affecter même le service de distribution du courrier. Celui-là, à en croire nos interlocuteurs, n’arrive aux destinataires qu’après une longue période. Une situation pour le moins contraignante qui porte les concernés à demander des mesures adéquates permettant de mieux réguler ces services postaux.

El Watan > 19-07-09 > Mohamed. G 

Aïn-Bessem : Un bloc opératoire en chantier

D’une capacité de 92 lits, l’établissement public hospitalier de Aïn Bessem, dans la wilaya de Bouira, englobe un personnel de 200 employés, dont 15 spécialistes, 12 généralistes et 137 paramédicaux, répartis sur les différents services confinés dans des locaux exigus, composés de 2 salles de consultation, une salle de radiologie dotée d’une radio mobile, une salle de soins et une pour le plâtre.
Notre virée sur les lieux, nous a permis de constater de visu qu’une nette amélioration est enregistrée au niveau des différents services de l’EPH. Un nombre important de malades sont présents au niveau du service des urgences. Le chef de service, rencontré sur place, explique que cette situation est due au fait que certaines polycliniques situées dans les différentes localités ne disposent pas d’un service d’urgence, notamment celui relatif à la maternité, de la médecine avec ses spécialités, de la pédiatrie et de la chirurgie générale.
Le directeur-adjoint de l’EPH dira que le service des urgences enregistre une moyenne de 200 malades durant la journée. Au service des admissions, médecine interne, interrogé, un diabétique dira « à mon arrivée, il n’ y avait pas de médecin, j’ai attendu jusqu’à 9h pour être pris en charge ». Les responsables de l’hôpital expliquent : « Nous avons reçu plus de 60 urgences jusqu’à midi mais sans que les malades comprennent la différence entre les soins et les urgences, face à cela les médecins, veillent à ce que le patient soit pris en charge ». Un autre service qui a également connu une amélioration remarquable, celui du néonatal qui dispose actuellement de tous les moyens nécessaires, six couveuses et une table chauffante, cela en vérifiant que les nouveaux-nés se portent bien auprès de leurs mamans après la photothérapie pour ictère. Ledit service dispose de 3 pédiatres.
Par ailleurs, l’EPH de Aïn Bessem sera renforcé, selon les responsables du secteur, de nouvelles structures, à l’image d’un bloc opératoire dont les travaux sont en cours d’exécution. L’enveloppe dégagée pour ce projet est de 7 milliards de centimes. Composé de trois salles d’opérations dont une pour la traumatologie, la gynécologie et la chirurgie générale ainsi qu’une salle de réanimation d’une capacité de six lits. Le directeur de l’EPH affirme « le futur bloc opératoire de notre établissement sera le seul qui sera doté d’un scialytique plafonné au niveau de la wilaya de Bouira, aussi que pour le matériel mis en place qui est d’une haute gamme ». D’autre part, le secteur de la santé au niveau de cette ville est renforcé aussi par l’ouverture d’un centre d’hémodialyse qui recevait 23 patients de la daïra. Il est doté de six générateurs avec un corps médical bien structuré permettant ainsi un séjour agréable pour les dialysés. Tout comme une autre salle est réservée pour les réanimations en cas d’urgence. Une perspective de transformer ce centre en service de néphrologie est l’un des objectifs de l’EPH de Aïn Bessem.

El Watan > 06/07/09 > Salima Boubekeur

Tension à l’hôpital de Aïn Bessem

Le Syndicat national des paramédicaux, (SAP) de l’Etablissement public hospitalier de Aïn Bessem, localité sise à une vingtaine de kilomètres à l’ouest de Bouira, sont revenus encore à la charge en dénonçant la gestion de la commission des œuvres sociales dudit établissement.
En effet, les animateurs de cette section syndicale exigent tout bonnement le renouvellement de la composante de la commission, tout en demandant une enquête sur le terrain. C’est ce qu’a déclaré le président de la SAP, M Tahri. « Nous avons déjà adressé des requêtes aux différentes instances, au ministère de la Santé, à l’IGF afin de procéder à l’ouverture d’une enquête ». Notre interlocuteur rappelle que le 2 mai dernier, une assemblée générale a été organisée afin de renouveler la composante de la commission des œuvres sociales, en présence de tout le personnel de l’EPH, et d’un huissier de justice mais, a-t-il affirmé, « des individus ont saccagé l’urne et commis des actes de vandalisme ». Par ailleurs, notre interlocuteur dira que la gestion des œuvres sociales demeure floue depuis 2005 à ce jour. Ainsi, les animateurs de la SAP réclament une enquête au sujet de l’actuelle commission pour faire toute la lumière sur ce dossier et cela dans l’objectif d’assurer une stabilité de l’équipe dirigeante de l’EPH.

El Watan > 27 juin 2009 > Amar Fedjkhi 

Coupures d’électricité à Aïn-Bessem

La ville de Aïn Bessem, sise à une vingtaine de kilomètres à l’ouest du chef-lieu de la wilaya de Bouira, comptant parmi les villes les plus importantes de la wilaya et abritant environ 40 000 h, connaît ces derniers temps des coupures de courant récurrentes qui durent parfois jusqu’à deux heures.
Pour le commun des personnes que nous avons interrogé, il s’agit bien de délestages opérés de manière cyclique. Cela au moment où l’on évoque par ailleurs des pannes sur le réseau électrique. Du côté des services de la Sonelgaz, l’on préfère parler des efforts de l’entreprise dans le cadre de l’électrification. Cependant, une chose est sûre, ces coupures fréquentes de courant électrique au niveau de cette ville, provoquent des désagréments aux abonnés. Ainsi et en plus de la détérioration de certains produits alimentaires, médicamenteux et autres articles électroménagers, dont souffrent les ménages, il y a aussi les arrêts répétitifs et non programmés de certaines unités de production et d’utilité publique. Pour le commun des citoyens aïnbessemois, il plus qu’urgent que les services de la Sonelgaz se penchent sur cet état de fait et y remédier pour éviter à ce que toute une population ne soit pénalisée.

El Watan > 17 juin 2009 > B. Atoui

Aïn-Bessem. Les arcades livrées à la dégradation

Confrontée à la dégradation du temps et aux différents projets inscrits dans le cadre de l’amélioration urbaine qui pourrait l’affecter profondément, la ville de Aïn Bessem faisait craindre pour la conservation de son patrimoine culturel matériel.
Par ce concept, il faut entendre quelques sites datant de l’époque coloniale, comme le square, la place publique qui lui fait face, l’église, le groupe scolaire, la salle de cinéma, et surtout, les arcades qui donnent à ce chef-lieu de daïra de 60 000 h tout son cachet architectural. Le P/APC de la ville qui nous recevait à son bureau, dira que tout ce qui compose le patrimoine historique et par conséquent le charme et l’identité urbaine de la ville sera préservé. Exemple : la dizaine d’arcs démolis par nécessité pour rebâtir la banque seront construits dans les formes architecturales primitives. Quant à l’état de délabrement où se trouve le reste, le responsable de la commune a fait savoir qu’en raison du danger public que constitue leur équilibre instable pour les passants, des mesures ont été prises. Une mise en demeure a été adressée il y a quelque temps à la direction de l’ancienne SNTV qui dispose d’un grand garage à cet endroit. Il faut dire que les autorités ont débloqué, il y a quatre ans, une importante enveloppe estimée par notre interlocuteur à trois ou quatre milliards pour « habiller de faïence » le bas de ces arcs. Les locaux ainsi que les habitations que supportent ces arcades de l’autre côté de la place sont propriétés privées. Malheureusement ces monuments connaissent eux-aussi une lente dégradation par suite des eaux pluviales qui y ruissellent. Le travail de sensibilisation serait d’attirer l’attention sur la valeur de ces sites historiques auxquels la ville doit son identité.

El Watan > 14 juin 2009 > Ali D.

Ain-Bessem. Campagne de don de sang

Sur invitation de groupe Alwafa des Scouts musulmans algériens de Aïn Laloui (daïra de Aïn Bessem) le Dr Kohli, responsable de la transfusion sanguine au CHU Mustapha Bacha d’Alger, a participé en début de ce mois à l’encadrement d’une journée de sensibilisation pour le don de sang dans la commune d’Aïn Laloui.
Cette journée est ainsi incluse dans le programme de travail du CHU Mustapha Bacha, apprend-on sur place. Lors de cette journée, les organisateurs ont insisté sur le fait que les donneurs de sang doivent être en bonne santé, et doivent avoir impérativement bénéficié d’un suivi médical. L’opération s’est déroulée au centre culturel de Aïn Laloui a accueilli plus de 150 donneurs de sang, un nombre important par rapport à d’autres villes du pays où la même opération a été organisée, dira le Dr Kohli. A noter en fin que cette initiative a été encouragée par les responsables locaux, à leur tête ceux de l’APC, qui ont mis tous les moyens nécessaires à la disposition de l’équipe médicale.

El Watan > 09/06/09 >  M. Guergaoui

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