Menu de cette page : / This page’s menu:
L’école primaire Lamri Boudjemâa, de la localité d’Ain-Bessem, vient de bénéficier d’un projet de construction d’une salle de sport. En effet, l’opération dont les travaux seront bientôt entamés, est inscrite dans le cadre du programme sectoriel de développement.
C’est le plus important projet inscrit en faveur de l’établissement qui enregistre, depuis son ouverture, des résultats satisfaisants. Ainsi, la nouvelle a été chaleureusement accueillie, tant par les élèves que par les professeurs dudit établissement scolaire.
Les habitants de trois villages, relevant de la commune d’Aïn Bessam, à savoir Rouabiaâ, Aïn Chellala et Ouled Brahim, se plaignent de la non-inscription de leurs hameaux au programme de la nouvelle conduite d’eau potable desservant leurs villages via le barrage Takesbt, et ce, malgré le manque crucial d’eau potable dont souffrent ces trois localités.
«Même durant l’hiver, nous sommes souvent confrontés à des pénuries d’eau potable. Parfois, nous restons jusqu’à vingt jours sans la moindre goutte d’eau dans les robinets. Cette situation est due à la vétusté du réseau local d’AEP », affirme l’un des villageois. «Malheureusement, nos villages n’ont pas été inscrits dans le projet de la nouvelle conduite, et ce, malgré qu’elle transite sur notre territoire », ajoute notre interlocuteur selon qui, plusieurs demandes et réclamations ont été adressées aux services de la wilaya, pour le raccordement de leurs hameaux à la nouvelle conduite du barrage Takesbt, mais en vain. « Les responsables du secteur refusent de nos raccorder à la nouvelle conduite, sous prétexte, que nos villages sont déjà raccordés à l’ancienne conduite du barrage Oued Lek’hal », ajoute-t-il.
Les citoyens que nous avons interrogés ont signalé, également, la mauvaise qualité d’eau qui coule dans leur robinet. Ces derniers affirment que c’est dû à la dégradation et la vétusté des réseaux d’AEP. « L’eau qui coule de nos robinets est d’une qualité douteuse, et il n’est pas à écarter que des infiltrations d’eaux usées en soient la cause. Nous avons alerté les services de l’ADE, mais jusqu’à ce jour, aucune mesure, au moins préventive, n’a été prise par les responsables de l’unité », se désole un villageois qui précise qu’un échantillon de cette eau a été déposé au laboratoire.
Interrogé sur cette question, les responsables de l’APC d’Aïn Bessem affirment qu’ils avaient officiellement saisi les responsables de la wilaya à propos de ce sujet. « Nous avons adressé une lettre officielle aux services de la wilaya et à la direction des ressources hydriques de Bouira, à propos de ce problème, mais à ce jour, nous n’avons pas encore reçu de réponse», nous dira un élu de l’APC.
Selon notre source locale, les travaux débuteront dans les prochains jours. Le délai de réalisation est de 18 mois. Les pouvoirs publics ont alloué une enveloppe de 170 millions de dinars. A noter par ailleurs, que six autres piscines olympiques sont programmées à travers les grandes daïras de la wilaya de Bouira. A l’image de Aïn Bessem, Bir Ghbalou, Lakhdaria, M’Chedallah, Kadiria, et Bechloul, en plus d’une autre piscine qui sera implantée à Bordj Okhris inscrite dans le cadre du programme des Hauts- Plateaux. Une fois que ces dernières verront le jour, elles feront certainement le bonheur des jeunes de la région.
El watan > 10/09/09 >
Cela a commencé avec les 40 logements LSL, à l’entrée est de Aïn El Hadjar, où l’entrepreneur s’est attiré les foudres du premier responsable pour un retard dans le lancement du projet, un retard jugé inadmissible. De même que ce responsable a estimé la situation des nouveaux relogés confrontés au problème d’électricité intolérable et donné des instructions fermes pour son règlement d’ici au 27 du mois de Ramadhan. A Aïn Laloui, la colère du premier chef de l’exécutif a pris pour cible les indus occupants dont les logements ont poussé comme autant de champignons près et sur le site où vont être édifiés les 90 logements. Sans prendre de gants avec ces occupants indésirables, il a donné l’ordre de débarrasser le terrain pour le lancement sans délai du projet. « Ceux qui n’ont pas de justificatif d’au moins 5 ans de présence sur les lieux » ne peuvent espérer y demeurer, a-t-il tonné. Et d’ordonner de « démolir tous ces gourbis » qui encombrent le site. A Souk El Khémis, une daïra en pleine transformation, pour ne pas dire révolution urbaine, avec ses nouveaux projets de siège de daïra, de lycée, de 100 logements et bientôt de gaz de ville, la consigne a été d’utiliser les mêmes études de labo ayant déjà servi au le lancement des 50 logements pour les 50 autres, les deux projets se trouvant sur le même, et ce pour des raisons d’économie de temps et d’argent. L’autre consigne a concerné la récupération des assiettes laissées vides.
Mais c’est à Aïn Bessem que le premier responsable de la wilaya a donné libre cours à sa vindicte, accusant les indus occupants, à l’origine du retard accusé dans le lancement du projet de 50 logements LSL. La pique particulièrement acérée a visé ces commerçants qui ne savaient pas où aller, selon l’un d’eux qui en l’occurrence s’est fait leur porte-parole. La réplique du wali s’est voulue cinglante : « Je n’attribue pas d’assiette foncière pour les commerçants, mais pour les investisseurs, créateurs de richesses et d’emplois. » Et comme le commerçant en question insistait pour qu’on reconsidère leur situation en fonction de leur ancienneté en tant qu’occupant, le même responsable, s’en tenant à sa décision a fait savoir qu’en l’absence de tout document administratif justifiant leur présence sur les lieux, seul moyen qui pourrait donner lieu à des compensations, il était inutile d’espérer quoi que ce soit de ses services. Et se tournant vers le directeur des domaines qui faisait partie de sa délégation, il l’instruisit d’avoir à engager des poursuites judiciaires à l’encontre de ceux qui refusent d’évacuer les lieux, occasionnant des retards considérables dans le lancement des projets.
El watan > 11/09/09 >
Cette situation cause des désagréments aux usagers de la route ainsi qu’aux piétons, particulièrement les lycéens, vu la présence des flaques d’eau durant la période hivernale, le revêtement de ce dernier est d’une nécessité absolue. Pour l’embouteillage, la ville n’est pas dotée de feux tricolores afin de réguler la circulation automobile et par-là même éviter les accidents qui peuvent être provoqués par des chauffards. Le transport urbain, qui est devenu nécessaire, vu l’extension de la ville, n’existe pas. Les responsables concernés doivent se pencher sur ce cas afin de délivrer des autorisations d’exploitation de lignes urbaines aux transporteurs publics, pour le soulagement des citoyens de la ville et ce dans le but d’y remédier à cette situation, qui n’a que trop duré.
El Watan > 18/08/09
Ce dernier ne dispose d’aucune commodité, il est dépourvu d’infrastructures d’accompagnement comme les toilettes publiques, les abribus. La piste n’est pas revêtue et en état dégradé où, on constate pendant l’hiver, que celle-ci est recouverte de boue et flaques d’eau un peu partout, dont l’accès devient impénétrable. L’été c’est la poussière insupportable en plus de l’absence de sécurité, étant donné que le site est dépourvu d’éclairage. La situation environnementale de cette dernière est pitoyable puisque les alentours dégagent une odeur nauséabonde où se trouvent des tas d’ordures amassés. En outre, certains transporteurs déplorent l’anarchie qui règne notamment dans la régulation du trafic de transport de voyageurs, et dénoncent les agissements de leurs collègues concernant les pratiques illégales pour le chargement des voyageurs en dehors de l’arrêt homologué par la direction des transports de la wilaya en utilisant d’autres points non autorisés ou en cas d’accident, le voyageur risque de ne pas recouvrir ses droits d’assurance ainsi que le transporteur. Les services habilités doivent agir afin de mettre un terme à ce phénomène de fraudes. Par ailleurs, certains transporteurs imposent leur loi en obligeant les voyageurs de descendre à l’arrêt Harkat, au lieu de continuer jusqu’à la gare routière, et ce dans le but de faire demi-tour pour effectuer le plus de rotations en pénalisant les usagers. Certains jours de la semaine, beaucoup de voyageurs restent immobilisés pendant une demi-journée pour se déplacer, en l’absence de moyens de transport. Un projet de réalisation d’une gare routière adéquate résoudra les problèmes existants et permettra par-là même aux usagers de voyager dans de bonnes conditions. Ce dont, ils demandent l’intervention des services concernés afin de remédier à cet état de fait qui n’a que trop duré.
El watan > 03/08/09 >
En effet, cette ville ne dispose pas de piscine, et ce malgré la disponibilité des ressources hydriques. Les jeunes de la localité ayant pris attache avec nous, voient mal comment les autorités compétentes n’ont pas pensé à la réalisation d’une piscine à ce niveau, alors qu’il s’agit bien de l’une des plus importantes villes de la wilaya. Autre raison, la région referme une nappe d’eau importante, en plus du barrage situé à quelques kilomètres seulement de là. Les plus âgés parmi les citoyens de cette ville, soutiennent qu’il s’agit là d’une nécessité impérieuse que les pouvoirs publics doivent impérativement prendre en compte. Car, faut-il le noter, pendant la période d’été la chaleur incite les jeunes et moins jeunes à s’aventurer du côté du barrage pour se baigner avec tous les risques encourus.
El watan > 01/08/09 > Par
De nombreux citoyens habitant la localité de Aïn Bessem, sise à une vingtaine de kilomètres à l’ouest du chef-lieu de la wilaya de Bouira, se plaignent ces derniers temps des lenteurs constatées dans la prestation de service au niveau de l’agence postale de la ville.
Les clients d’Algérie Poste déplorent ainsi l’accueil qui leur aura été réservé par les préposés aux guichets. Certains de nos interlocuteurs ne cachent pas leur gène devant toutes ces lenteurs inexpliquées. L’un d’entre eux dira : « A chaque fois que je viens ici, ils (les guichetiers) m’informent qu’il y a un manque de liquidités. » Celui-là ajoute que même le distributeur automatique de billets de banque (DAB) est constamment hors service, ce qui incite la plupart des personnes à se rabattre sur d’autres bureaux postaux des villes environnantes, dont celui du chef-lieu wilaya qui se trouve à son tour submergé par un nombre sans cesse croissant de citoyens qui y viennent effectuer leurs opérations postales. Ainsi et devant cette situation, les aïnbessemois dénoncent l’anarchie qui y règne et qui ne manque pas d’affecter même le service de distribution du courrier. Celui-là, à en croire nos interlocuteurs, n’arrive aux destinataires qu’après une longue période. Une situation pour le moins contraignante qui porte les concernés à demander des mesures adéquates permettant de mieux réguler ces services postaux.
El Watan > 19-07-09 > Mohamed. G
D’une capacité de 92 lits, l’établissement public hospitalier de Aïn Bessem, dans la wilaya de Bouira, englobe un personnel de 200 employés, dont 15 spécialistes, 12 généralistes et 137 paramédicaux, répartis sur les différents services confinés dans des locaux exigus, composés de 2 salles de consultation, une salle de radiologie dotée d’une radio mobile, une salle de soins et une pour le plâtre.
Notre virée sur les lieux, nous a permis de constater de visu qu’une nette amélioration est enregistrée au niveau des différents services de l’EPH. Un nombre important de malades sont présents au niveau du service des urgences. Le chef de service, rencontré sur place, explique que cette situation est due au fait que certaines polycliniques situées dans les différentes localités ne disposent pas d’un service d’urgence, notamment celui relatif à la maternité, de la médecine avec ses spécialités, de la pédiatrie et de la chirurgie générale.
Le directeur-adjoint de l’EPH dira que le service des urgences enregistre une moyenne de 200 malades durant la journée. Au service des admissions, médecine interne, interrogé, un diabétique dira « à mon arrivée, il n’ y avait pas de médecin, j’ai attendu jusqu’à 9h pour être pris en charge ». Les responsables de l’hôpital expliquent : « Nous avons reçu plus de 60 urgences jusqu’à midi mais sans que les malades comprennent la différence entre les soins et les urgences, face à cela les médecins, veillent à ce que le patient soit pris en charge ». Un autre service qui a également connu une amélioration remarquable, celui du néonatal qui dispose actuellement de tous les moyens nécessaires, six couveuses et une table chauffante, cela en vérifiant que les nouveaux-nés se portent bien auprès de leurs mamans après la photothérapie pour ictère. Ledit service dispose de 3 pédiatres.
Par ailleurs, l’EPH de Aïn Bessem sera renforcé, selon les responsables du secteur, de nouvelles structures, à l’image d’un bloc opératoire dont les travaux sont en cours d’exécution. L’enveloppe dégagée pour ce projet est de 7 milliards de centimes. Composé de trois salles d’opérations dont une pour la traumatologie, la gynécologie et la chirurgie générale ainsi qu’une salle de réanimation d’une capacité de six lits. Le directeur de l’EPH affirme « le futur bloc opératoire de notre établissement sera le seul qui sera doté d’un scialytique plafonné au niveau de la wilaya de Bouira, aussi que pour le matériel mis en place qui est d’une haute gamme ». D’autre part, le secteur de la santé au niveau de cette ville est renforcé aussi par l’ouverture d’un centre d’hémodialyse qui recevait 23 patients de la daïra. Il est doté de six générateurs avec un corps médical bien structuré permettant ainsi un séjour agréable pour les dialysés. Tout comme une autre salle est réservée pour les réanimations en cas d’urgence. Une perspective de transformer ce centre en service de néphrologie est l’un des objectifs de l’EPH de Aïn Bessem.
El Watan > 06/07/09 > Salima Boubekeur
Le Syndicat national des paramédicaux, (SAP) de l’Etablissement public hospitalier de Aïn Bessem, localité sise à une vingtaine de kilomètres à l’ouest de Bouira, sont revenus encore à la charge en dénonçant la gestion de la commission des œuvres sociales dudit établissement.
En effet, les animateurs de cette section syndicale exigent tout bonnement le renouvellement de la composante de la commission, tout en demandant une enquête sur le terrain. C’est ce qu’a déclaré le président de la SAP, M Tahri. « Nous avons déjà adressé des requêtes aux différentes instances, au ministère de la Santé, à l’IGF afin de procéder à l’ouverture d’une enquête ». Notre interlocuteur rappelle que le 2 mai dernier, une assemblée générale a été organisée afin de renouveler la composante de la commission des œuvres sociales, en présence de tout le personnel de l’EPH, et d’un huissier de justice mais, a-t-il affirmé, « des individus ont saccagé l’urne et commis des actes de vandalisme ». Par ailleurs, notre interlocuteur dira que la gestion des œuvres sociales demeure floue depuis 2005 à ce jour. Ainsi, les animateurs de la SAP réclament une enquête au sujet de l’actuelle commission pour faire toute la lumière sur ce dossier et cela dans l’objectif d’assurer une stabilité de l’équipe dirigeante de l’EPH.
El Watan > 27 juin 2009 > Amar Fedjkhi
La ville de Aïn Bessem, sise à une vingtaine de kilomètres à l’ouest du chef-lieu de la wilaya de Bouira, comptant parmi les villes les plus importantes de la wilaya et abritant environ 40 000 h, connaît ces derniers temps des coupures de courant récurrentes qui durent parfois jusqu’à deux heures.
Pour le commun des personnes que nous avons interrogé, il s’agit bien de délestages opérés de manière cyclique. Cela au moment où l’on évoque par ailleurs des pannes sur le réseau électrique. Du côté des services de la Sonelgaz, l’on préfère parler des efforts de l’entreprise dans le cadre de l’électrification. Cependant, une chose est sûre, ces coupures fréquentes de courant électrique au niveau de cette ville, provoquent des désagréments aux abonnés. Ainsi et en plus de la détérioration de certains produits alimentaires, médicamenteux et autres articles électroménagers, dont souffrent les ménages, il y a aussi les arrêts répétitifs et non programmés de certaines unités de production et d’utilité publique. Pour le commun des citoyens aïnbessemois, il plus qu’urgent que les services de la Sonelgaz se penchent sur cet état de fait et y remédier pour éviter à ce que toute une population ne soit pénalisée.
El Watan > 17 juin 2009 > B. Atoui
Confrontée à la dégradation du temps et aux différents projets inscrits dans le cadre de l’amélioration urbaine qui pourrait l’affecter profondément, la ville de Aïn Bessem faisait craindre pour la conservation de son patrimoine culturel matériel.
Par ce concept, il faut entendre quelques sites datant de l’époque coloniale, comme le square, la place publique qui lui fait face, l’église, le groupe scolaire, la salle de cinéma, et surtout, les arcades qui donnent à ce chef-lieu de daïra de 60 000 h tout son cachet architectural. Le P/APC de la ville qui nous recevait à son bureau, dira que tout ce qui compose le patrimoine historique et par conséquent le charme et l’identité urbaine de la ville sera préservé. Exemple : la dizaine d’arcs démolis par nécessité pour rebâtir la banque seront construits dans les formes architecturales primitives. Quant à l’état de délabrement où se trouve le reste, le responsable de la commune a fait savoir qu’en raison du danger public que constitue leur équilibre instable pour les passants, des mesures ont été prises. Une mise en demeure a été adressée il y a quelque temps à la direction de l’ancienne SNTV qui dispose d’un grand garage à cet endroit. Il faut dire que les autorités ont débloqué, il y a quatre ans, une importante enveloppe estimée par notre interlocuteur à trois ou quatre milliards pour « habiller de faïence » le bas de ces arcs. Les locaux ainsi que les habitations que supportent ces arcades de l’autre côté de la place sont propriétés privées. Malheureusement ces monuments connaissent eux-aussi une lente dégradation par suite des eaux pluviales qui y ruissellent. Le travail de sensibilisation serait d’attirer l’attention sur la valeur de ces sites historiques auxquels la ville doit son identité.
El Watan > 14 juin 2009 > Ali D.
Sur invitation de groupe Alwafa des Scouts musulmans algériens de Aïn Laloui (daïra de Aïn Bessem) le Dr Kohli, responsable de la transfusion sanguine au CHU Mustapha Bacha d’Alger, a participé en début de ce mois à l’encadrement d’une journée de sensibilisation pour le don de sang dans la commune d’Aïn Laloui.
Cette journée est ainsi incluse dans le programme de travail du CHU Mustapha Bacha, apprend-on sur place. Lors de cette journée, les organisateurs ont insisté sur le fait que les donneurs de sang doivent être en bonne santé, et doivent avoir impérativement bénéficié d’un suivi médical. L’opération s’est déroulée au centre culturel de Aïn Laloui a accueilli plus de 150 donneurs de sang, un nombre important par rapport à d’autres villes du pays où la même opération a été organisée, dira le Dr Kohli. A noter en fin que cette initiative a été encouragée par les responsables locaux, à leur tête ceux de l’APC, qui ont mis tous les moyens nécessaires à la disposition de l’équipe médicale.
El Watan > 09/06/09 > M. Guergaoui
Les membres de la section locale du SAP (Syndicat algérien des paramédicaux) de l’hôpital de Aïn Bessem, 20 km à l’ouest de Bouira, qui ont dénoncé le mois écoulé dans une déclaration rendue publique, la gestion controversée de la commission des œuvres sociales gérée par la section syndicale de l’UGTA, dont ils demandent le renouvellement de la composante, sont revenus à la charge en réclamant la tenue d’une assemblée élective pour élire les membres de la commission.
En effet, une assemblée élective a été organisée, en début du mois en cours en présence d’un huissier de justice, affirme le président de la section SAP, M. Tahri, qui a souligné qu’au moment de la tenue de cette assemblée, certains parmi les membres affiliés à la section syndicale de l’UGTA de l’établissement, ont procédé à la destruction des biens de l’hôpital et à saccager l’urne, tout en demandant le départ du directeur de l’EPH. « Pourquoi ont-ils peur de l’urne ? », s’interrogent-ils. D’autre part, le SAP dénonce ces agissements « condamnables » et déclarent soutenir le directeur de l’EPH.
Un soutien qui est par ailleurs exprimé par plusieurs autres associations de la région, à l’image du bureau de wilaya des fils de chouhada, l’association Nour de Aïn Bessem, les fonctionnaires de l’hôpital et les présidents des APC de Aïn Bessem, Aïn Laloui, Aïn Lahdjar, Souk El Khemis, El Mokrani, Khabouzia et El Hachimia. A noter enfin que toutes nos tentatives pour joindre la section syndicale de l’UGTA pour entendre leur version des faits ont été vaines.
El Watan > 20 mai 2009 > Par Nadia Hamani
Depuis que le groupe Dahmani a laissé tomber l’unité d’Eriad de Aïn Bessem, il y a 20 jours, celle-ci est à l’arrêt, selon nos sources. Notre déplacement, samedi dernier sur les lieux, n’a pu nous permettre d’apprendre davantage sinon que les 100 employés de l’unité n’ont pas touché leur dernier salaire, c’est-à-dire celui d’avril.
Le directeur de l’unité n’étant pas présent, nous n’avons pu aller plus loin que le seuil de l’entreprise. Cependant, contacté par téléphone, celui-ci nous a invités par deux fois à nous adresser au PDG de la filiale Eriad à Bouira. L’un des responsables de cette filiale nous a orientés vers le groupe Eriad à Alger. Joint par téléphone, le directeur commercial de ce groupe se dit surpris d’apprendre que le groupe Dahmani pour lequel l’unité de Aïn Bessem fait le processing, c’est-à-dire la trituration du blé et la mise en sac, a rompu le contrat qui le lie à cette unité. Pour ce responsable, rien n’a changé pour l’unité Eriad de Aïn Bessem puisqu’on ne lui a rien signalé à ce sujet. Quant au retard accusé dans le versement des salaires, cela arrive à toutes les entreprises, selon lui, sans pour autant signifier qu’elles ont des difficultés financières. Nouveaux contrats avec nos sources qui persistent et signent dans leurs déclarations : l’unité Eriad est à l’arrêt du fait de son lâchage par le groupe Dahmani il y a 20 jours. « Avec quoi tournerait l’unité privée sans le produit fourni par le groupe Dahmani ? », ironisent ces sources. Et pour montrer que les difficultés dans lesquelles se débat l’Eriad de Aïn Bessem remontent à deux ans et que le groupe Dahmani n’a fait que reculer l’agonie de cette unité, ces mêmes sources ajoutent que « les travailleurs n’ont touché que 50% du salaire de février ». Le mois qui a vu le groupe Dahmani offrir à l’unité son label et son partenariat.
El watan > 18/05/09 > Ali Douidi
Plus dune vingtaine d’habitants de la cité des 170 Logements, sise à Aïn Bessem à
Certes, avant la fin de l’année dernière, un accord a été conclu avec le responsable de l’unité de l’Opgi au niveau de Aïn Bessem stipulant que le loyer serait de 850 DA. De leur côté, les habitants se sont engagés à s’acquitter du cumul des dettes. Cinq mois après, les choses n’ont pas évolué dans le bon sens. De ce fait, ils demandent aux autorités compétentes, en l’occurrence le directeur général de l’Opgi de Bouira, d’intervenir pour mettre un terme à cette double politique des loyers menée depuis six ans.
Les lycéens d’El Hachimia ont entamé leur deuxième semaine de grève suite au recrutement de nouveaux professeurs dans leurs établissements. En effet, les six enseignants contractuels, trois de langue française, un professeur d’allemand et deux moniteurs de sport, exerçant au lycée ont été remerciés par l’administration au début du mois. Ce qui aurait été mal perçu par les élèves qui sont entrés en grève illimitée pour dénoncer ce qu’ils qualifient d’instabilité. Selon les dires des lycéens, il est inconcevable “de changer nos professeurs au beau milieu de l’année scolaire. C’est une perturbation dans notre cursus d’autant plus que nous avions, avec les enseignants, développé une méthode de travail qui a fait ses preuves.’’ Les enseignants contractuels de leurs côtés n’ont pas voulu faire de déclarations, ils nous feront comprendre que l’intérêt des élèves passe avant tout autre considération. Les parents d’élèves redoutent que cette grève pénalise leur progéniture et ils s’inquiètent de la tournure des événements à moins d’un trimestre des examens. “Nous ne comprenons pas pourquoi des professeurs se font recruter au milieu de l’année scolaire, les concours de recrutement devraient se dérouler avant la rentrée scolaire pour que les enseignants rejoignent leurs postes au mois de septembre. C’est aberrant !’’, dira un parent d’élève soucieux quant à l’avenir de ses deux fils scolarisés dans ce lycée.
La depeche de kabylie > 15/04/09 > B.D.B
Le différend qui avait opposé les producteurs du lait de la wilaya de Bouira et la laiterie de Draâ Ben Khedda depuis le 1er avril
Ain-Bessem.com © 2007
Artiphp 4 XXL © 2001-2006 est un logiciel libre distribué sous licence GPL.